Risperdal

28/12/2024 | Homme | 45
risperidone (8mg)
Inquiétude

Efficacité

Quantité effets secondaires

Effets indésirables

impuissance sexuelle perte de libido insomnie perte d'appétit

Tu as raison.C'est une horreur, ce poison.Tu en a pris pendant 7 ans mais à quelles doses?

Risperdal

28/12/2024 | Homme | 45
risperidone (4mg)
Inquiétude

Efficacité

Quantité effets secondaires

Effets indésirables

perte de libido perte d'appétit impuissance sexuelle insomnie

Bonjour.J'ai hospitalisé sous contrainte dans un Epsm(etablissement public de santé mentale). Pendant 1 mois et demi, les traitements étaient de 6 mg/ jour. Puis a l'issue de cette hospitalisation,jje suis sorti.Peut être parce que les psychiatres ont jugé que ce n'était pas nécéssaire de m'interner plus longtemps.Mais une fois dehors, le suivi continuait en cmp(centre méd...lire la suiteico psychologique. La,j'ai commencé avec ce que l'infirmier qui passe me voir appelle "traitement d'attaque" avec 8 mg par jours pendant 2 mois.J'était devenu un vrai zombie,je bavais,marchais comme un robot et avait des problemes pour m'exprimer correctement.Ensuite, on a abaissé à 6mg/jour. je les ai aussi pris pendant 2 mois.J'ai aussi ressenti des effets secondaires type douleurs/raideur dans les epaules qui perdurent jusqu'à maintenant,bien qu'elles se soient atténuées.Par contre, je ne faisais déja plus mes nuits complètes,même en prenant les 6 mg.La première fois(avril 2024), ca a été en se couchant à 21h30-22h et en se reveillant à 3h du matin pour ne plus se rendormir.Je l'ai signalé,et on m'a répondu que c'était parce que je cogitais.(Sauf que cogiter ne m'avait alors jusque la jamais empêché de trouver le sommeil,bien au contraire).Entre temps bien sûr,j'ai aussi observé une perte totale de libido et des troubles de l'érection assez conséquents quand j'essayais de me faire du bien en me masturbant,faute de partenaire.Sans mentionner que à partir du mois de mai,ce n'était deja plus possible de dormir plus de 3 heures,parfois même 2 par nuits.Ensuite, ils ont abaissé la dose à 4mg à partir du mois de Juin 2024 en me disant que si mes "symptômes" revenaient,ils faudrait remonter à 6mg/ jour ou voir même,ré-envisager un hospitalisation.J'ai pris 4mg par jour du mois de juin au mois de septembre.Et à partir de septembre,j'ai décidé de tout arrêter moi même.Et bien depuis septembre 2024 jusqu'à ce jours, j'ai toujours des problèmes d'érection et de libido et de plus, je dors chaque nuit pas plus d'1 heure.Je ne mentionne pas la perte d'appétit et les problèmes de digestion survenus dès le début du traitement,bien sûr. Nous sommes en décembre 2024 et j'essaie de trouver au moins le sommeil,mais ca ne toujours pas.Je ne présentais aucun trouble du comportement ni de dédoublement de la personnalité.Sur la feuille de liaison, il a été mentionné "vécu de persécution", ce qui était vrai( harcèlement journalier au travail).Aujourd'hui,je me demande si je vais revenir un jour avec un rythme et des fonctions normales un jour,même si cela peut prendre du temps.C'est déja pas rassurant de voir que la perte de libido et les troubles de l'érection peuvent persister pour toujours et que l'on peut dire adieu à une vie sexuelle épanouie,mais je me demande si il est envisageable de ne pas pouvoir dormir pendant les années qu'il me reste à vivre.La nuit dernière,j'ai fait une sieste d'une demi heure seulement.Ca devient de pire en pire,même après l'arrêt du médicament.Quelqu'un connait t il une expérience similaire?Quelqu'un a t il reussi à s'en sortir apres ces dosages et retrouver une physiologie normale?Un conseil: ne prenez jamais ce médicament qui n'est rien d'autre qu'un poison pour le corps et l'esprit.Quand je consulte,on me réponds que la fréquence des troubles est indeterminée.Ca fait un peu "aller sans retour", je trouve.Suis je perdu à tout jamais, de ces côtés la? Vos réactions s'il vous plaît?Merci Bonjour.J'ai hospitalisé sous contrainte dans un Epsm(etablissement public de santé mentale). Pendant 1 mois et demi, les traitements étaient de 6 mg/ jour. Puis a l'issue de cette hospitalisation,jje suis sorti.Peut être parce que les psychiatres ont jugé que ce n'était pas nécéssaire de m'interner plus longtemps.Mais une fois dehors, le suivi continuait en cmp(centre médico psychologique. La,j'ai commencé avec ce que l'infirmier qui passe me voir appelle "traitement d'attaque" avec 8 mg par jours pendant 2 mois.J'était devenu un vrai zombie,je bavais,marchais comme un robot et avait des problemes pour m'exprimer correctement.Ensuite, on a abaissé à 6mg/jour. je les ai aussi pris pendant 2 mois.J'ai aussi ressenti des effets secondaires type douleurs/raideur dans les epaules qui perdurent jusqu'à maintenant,bien qu'elles se soient atténuées.Par contre, je ne faisais déja plus mes nuits complètes,même en prenant les 6 mg.La première fois(avril 2024), ca a été en se couchant à 21h30-22h et en se reveillant à 3h du matin pour ne plus se rendormir.Je l'ai signalé,et on m'a répondu que c'était parce que je cogitais.(Sauf que cogiter ne m'avait alors jusque la jamais empêché de trouver le sommeil,bien au contraire).Entre temps bien sûr,j'ai aussi observé une perte totale de libido et des troubles de l'érection assez conséquents quand j'essayais de me faire du bien en me masturbant,faute de partenaire.Sans mentionner que à partir du mois de mai,ce n'était deja plus possible de dormir plus de 3 heures,parfois même 2 par nuits.Ensuite, ils ont abaissé la dose à 4mg à partir du mois de Juin 2024 en me disant que si mes "symptômes" revenaient,ils faudrait remonter à 6mg/ jour ou voir même,ré-envisager un hospitalisation.J'ai pris 4mg par jour du mois de juin au mois de septembre.Et à partir de septembre,j'ai décidé de tout arrêter moi même.Et bien depuis septembre 2024 jusqu'à ce jours, j'ai toujours des problèmes d'érection et de libido et de plus, je dors chaque nuit pas plus d'1 heure.Je ne mentionne pas la perte d'appétit et les problèmes de digestion survenus dès le début du traitement,bien sûr. Nous sommes en décembre 2024 et j'essaie de trouver au moins le sommeil,mais ca ne toujours pas.Je ne présentais aucun trouble du comportement ni de dédoublement de la personnalité.Sur la feuille de liaison, il a été mentionné "vécu de persécution", ce qui était vrai( harcèlement journalier au travail).Aujourd'hui,je me demande si je vais revenir un jour avec un rythme et des fonctions normales un jour,même si cela peut prendre du temps.C'est déja pas rassurant de voir que la perte de libido et les troubles de l'érection peuvent persister pour toujours et que l'on peut dire adieu à une vie sexuelle épanouie,mais je me demande si il est envisageable de ne pas pouvoir dormir pendant les années qu'il me reste à vivre.La nuit dernière,j'ai fait une sieste d'une demi heure seulement.Ca devient de pire en pire,même après l'arrêt du médicament.Quelqu'un connait t il une expérience similaire?Quelqu'un a t il reussi à s'en sortir apres ces dosages et retrouver une physiologie normale?Un conseil: ne prenez jamais ce médicament qui n'est rien d'autre qu'un poison pour le corps et l'esprit.Quand je consulte,on me réponds que la fréquence des troubles est indeterminée.Ca fait un peu "aller sans retour", je trouve.Suis je perdu à tout jamais, de ces côtés la? Vos réactions s'il vous plaît?Merci

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Bonjour, Moi aussi j'étais à 8 mg et aujourd'hui à 4,5. C'est bien que vous ayez baissez mes doses mais attention, de 8 à 2mg c'est-0,5 tous les 2 mois si vous l'avez pris longtemps ensuite c'est-0,25 et -0,12 tous les 2 mois sinon vous allez avoir des symptômes même que vous n'aviez pas avant qui vont apparaitre. Peut-être vous devriez vous contenter de la psychotherapie

04/01/2025 22:22

Risperdal

04/09/2024 | Homme | 31
risperidone (4mg)
Psychose

Efficacité

Quantité effets secondaires

Effets indésirables

gain de poids diminution de la libido apathie

J’ai ce médicament suite à plusieurs épisodes psychotiques et je n’ai plus d’émotions et je suis gros. Je ne travaille plus et suis célibataire depuis 4 ans. Je vis chez mes parents à 31 ans. J’aimerais bien définitivement l’arrêter mais j’ai peur de quoi je serais capable de faire.

Risperdal

19/08/2024 | Femme | 29
risperidone (4mg)
Dépression

Efficacité

Quantité effets secondaires

Effets indésirables

perte de mémoire gain de poids pas de règles depuis au moins 6 mois troubles visuels fatigue musculaire akathisie

Pris a 15 ans a 0.5mg pour cause de depression. Gros problemes pour m en sevrer. Sevrage a 23 ans et hospitalisation abusive. Sevrage a 25 ans et on me dit que je fait une bouffee delirante. Sevrage a 26 ans et rehospitalisation a 27 puis sevrage encore a 28 ans et rehospitalisation. Je deconseille ce medicament. Entraine une impossibilite a l arreter sans devolepper les t...lire la suiteroubles qu il est cense soigne mais qu il cause. Pas d'émotions avec. Vie terriblement plate. Plus d amour, plus rien. Amenhorree. Insomnies. Akathisie. Aller voir le manuel de sevrage au neuroleptiques et renseigner vous bien sur les neuroleptiques et leurs effets secondaires. Sites interessants: Psychomedia, zinzinzine, ccdh, comme des fous, et autres. La psychiatrie est terrible. Elle detruit ceux qui y entre. Les psychiatres ne veulent rien entendre et prescrivent des drogues toxiques aux gens quu leurs causent plus de problemes qu ils n en soignent. Un conseil, sevrez vous meme si c est lentement, meme si c est dans une clinique. Et ne prenez pas plusieurs medicaments a la fois. C est la pire des choses. Pour ce sevrer c est la croix et la banniere. Eviter tout ce qui est psychiatrique : antipsychotiques, neuroleptiques, anxyolitique, antidepresseurs, thymoregulateurs, lithium. Ce sont des produits toxiques qui vous detruiront plus a la fin. Il s agit de se reveiller. La psychiatrie n aide en rien mais empire les problemes. Elle ne soigne pas. J ai vecu la torture sous risperdal et autres avec notammenr de l akathisie. Ne dormant pas et devant bouger, marcher, constamment. Et c est terrible de ne ressentir aucun emotions et d etre constamment fatigue en sentant son coros tres faible comme si on etait une personne agee alors qu on a dans la vingtaine. Perte de memoire impirtante. Perte de concentration, d attention et j en passe.

Risperdal

16/08/2024 | Homme | 24
risperidone (3mg)
Psychose

Efficacité

Quantité effets secondaires

Effets indésirables

dépression

J'ai fait une bouffée délirante aigu lors de l'été 2023. On ma mis sous risperdal 4 mg puis mon psychiatre a baissé a 3mg. Je ne sais pas si c'est a cause de ce traitement ou si c'est a cause de la bouffée délirante aigu mais depuis : -Je ne peux plus travailler -Je n'ai plus aucune sexualité (c'était très important pour moi) -Je n'écoute plus de musique (alors ...lire la suiteque j'adorais cela) -Je ne regarde plus de séries (c'était mon passe temp favori) -Je ne regarde plus de vidéos YouTube (un de mes passe temps) Je ne suis plus comme avant. Je n'ai plus gout à rien, je ne ressens plus aucune émotion.

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Bonjour, J'ai l'impression que cet avis a ete rédigé par moi tellement il me ressemble.

28/03/2025 14:17

Risperdal

17/07/2022 | Femme | 22
risperidone (2mg)
Schizophrénie

Efficacité

Quantité effets secondaires

Mauvais diagnostic, on m'a crue schizophréne et on m'a transformée en légume handicapée avec ce médicament alors que je n'avais qu'une tendance à la dépression et un trouble dissociatif de l'identité (c'était pourtant évident vue mon passé et le fait que je ne cesse de dire que tout était interne et que je n'avais pas les symptômes de la schizophrénie). Les psychiatres ne ...lire la suitesavent même pas faire la différence et sont incompétents, froids et apathiques. On se demande parfois ce qui pousse certains à faire ce métier. C'est terminé pour moi, gros choc quand on redevient normale et soi-même mais que ca fait du bien... Pour rien au monde je ne reprendrai ce poison.

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Combien de temps vous avez mis à vous sentir mieux? Vous avez revu un médecin depuis?

20/08/2023 15:54

Risperdal

13/03/2022 | Homme | 21
risperidone (4mg)
Phobie sociale

Efficacité

Quantité effets secondaires

Hospitalisé sous contrainte suite à une phobie scolaire (ayant vécu harcèlement et isolement volontaire de la part des autres, j'étais devenu trop anxieux pour retourner au lycée), j'ai été déclaré "schizophrène" en trois jours au motif que... Je fais les cent pas quand je réfléchis. C'est sûr qu'enfermé dans sa chambre avec aucune autre occupation que des livres, je passa...lire la suiteis du temps à réfléchir. Je n'avais plus le droit de rien, ne serait-ce que sortir à l'extérieur voir la lumière du jour, donc oui, désespérément j'ai demandé à sortir, suite à quoi j'ai subi des menaces du personnel hospitalier. On m'a rapidement mit sous Risperdal (4 mg/jour) et il a fallu peu de temps pour que les effets secondaires se manifestent, j'étais devenu un légume, léthargique, je bavais, j'avais les membres qui tremblaient (impossible d'utiliser un stylo ou d'ouvrir une porte !), je n'arrivais plus à penser, ni à ressentir quoi que ce soit, de temps en temps je n'arrivais même plus à ouvrir la bouche et à parler, j'étais une coquille vide qui passait son temps allongé sur son lit à ne rien faire. Ma mère devait, à 18 ans, recommencer à me nourrir à la cuiller, je n'étais plus capable de le faire. Face à l'ébranlement que ça a causé dans ma famille, le psychiatre a continué à leur rappeler le "diagnostic" et la nécessité que je prenne le médicament (alors que jamais rien dans mon histoire ne pouvait faire penser à de la schizophrénie). Au bout de huit mois, le psychiatre a diminué par deux la dose, et retrouvant une partie de mes esprits, j'ai instantanément arrêté le traitement, sans avis médical. Au bout d'une semaine j'étais redevenu moi-même. Aucun effet bénéfique donc (et pour cause !), par contre mes parents ont eu des idées suicidaire à cause de cette maltraitance médicale. Je trouve extrêmement grave ce genre de négligence dans la psychiatrie actuelle en France. Un an après, un psychiatre en libéral m'a diagnostiqué en dépression et avec une forte anxiété sociale, et m'a prescrit de la Quétiapine à 50 mg/jour, ça m'a changé la vie et aujourd'hui, je me considère "normal", posé, je réussis brillamment mes études. Je resterai probablement traumatisé à vie de mon expérience avec le Risperdal qui pour moi relève de la maltraitance médicale, surtout dans les conditions dans lesquelles il m'a été prescrit, alors que je n'avais que 18 ans. Mon psychiatre de l'époque a reconnu, avec du mal, une "erreur de diagnostic", tout en refusant d'admettre que l'emploi du médicament était injustifié et en insistant sèchement pour que nous n'en reparlions jamais. À tout éventuel lecteur, faites attention, ce n'est pas un médicament anodin : discutez-en avec votre médecin et soyez sûr que son diagnostic a été posé de manière éclairée. À tout éventuel proche de personne qui connaît la même expérience que moi, je vous souhaite du courage et je vous incite à poser vos questions au médecin, sans toujours prendre ses dires pour parole d'évangile : le principe d'un médicament est qu'il soit bénéfique... Hospitalisé sous contrainte suite à une phobie scolaire (ayant vécu harcèlement et isolement volontaire de la part des autres, j'étais devenu trop anxieux pour retourner au lycée), j'ai été déclaré "schizophrène" en trois jours au motif que... Je fais les cent pas quand je réfléchis. C'est sûr qu'enfermé dans sa chambre avec aucune autre occupation que des livres, je passais du temps à réfléchir. Je n'avais plus le droit de rien, ne serait-ce que sortir à l'extérieur voir la lumière du jour, donc oui, désespérément j'ai demandé à sortir, suite à quoi j'ai subi des menaces du personnel hospitalier. On m'a rapidement mit sous Risperdal (4 mg/jour) et il a fallu peu de temps pour que les effets secondaires se manifestent, j'étais devenu un légume, léthargique, je bavais, j'avais les membres qui tremblaient (impossible d'utiliser un stylo ou d'ouvrir une porte !), je n'arrivais plus à penser, ni à ressentir quoi que ce soit, de temps en temps je n'arrivais même plus à ouvrir la bouche et à parler, j'étais une coquille vide qui passait son temps allongé sur son lit à ne rien faire. Ma mère devait, à 18 ans, recommencer à me nourrir à la cuiller, je n'étais plus capable de le faire. Face à l'ébranlement que ça a causé dans ma famille, le psychiatre a continué à leur rappeler le "diagnostic" et la nécessité que je prenne le médicament (alors que jamais rien dans mon histoire ne pouvait faire penser à de la schizophrénie). Au bout de huit mois, le psychiatre a diminué par deux la dose, et retrouvant une partie de mes esprits, j'ai instantanément arrêté le traitement, sans avis médical. Au bout d'une semaine j'étais redevenu moi-même. Aucun effet bénéfique donc (et pour cause !), par contre mes parents ont eu des idées suicidaire à cause de cette maltraitance médicale. Je trouve extrêmement grave ce genre de négligence dans la psychiatrie actuelle en France. Un an après, un psychiatre en libéral m'a diagnostiqué en dépression et avec une forte anxiété sociale, et m'a prescrit de la Quétiapine à 50 mg/jour, ça m'a changé la vie et aujourd'hui, je me considère "normal", posé, je réussis brillamment mes études. Je resterai probablement traumatisé à vie de mon expérience avec le Risperdal qui pour moi relève de la maltraitance médicale, surtout dans les conditions dans lesquelles il m'a été prescrit, alors que je n'avais que 18 ans. Mon psychiatre de l'époque a reconnu, avec du mal, une "erreur de diagnostic", tout en refusant d'admettre que l'emploi du médicament était injustifié et en insistant sèchement pour que nous n'en reparlions jamais. À tout éventuel lecteur, faites attention, ce n'est pas un médicament anodin : discutez-en avec votre médecin et soyez sûr que son diagnostic a été posé de manière éclairée. À tout éventuel proche de personne qui connaît la même expérience que moi, je vous souhaite du courage et je vous incite à poser vos questions au médecin, sans toujours prendre ses dires pour parole d'évangile : le principe d'un médicament est qu'il soit bénéfique...

Risperdal

23/11/2021 | Homme | 29
risperidone (1mg)
Psychose

Efficacité

Quantité effets secondaires

Risperdal est pour moi un des pires antipsychotiques que j’ai pu essayé, moi qui a principalement des symptômes négatifs (étant hébéphrène), eh bien il me les a empirés : ma vigilance a diminué encore plus, j’étais encore plus «vidé» dans ma tête. Mais le pire ça a été au sevrage, pendant des jours, ces symptômes se sont accentués, après 8 jours de traitement seulement ! B...lire la suiteref résultat maintenant je suis des années après toujours psychiquement hypersensible à la lumière… Je comprends pas pourquoi ça m’a été prescrit en première intention, si vous vous reconnaissez dans cette maladie, un conseil méfiez-vous !

Risperdal

14/09/2021 | Femme | 79
risperidone (1mg)
Pas dans la liste

Efficacité

Quantité effets secondaires

Ma maman a pris 4 moiscce medicament pour terminer avec tous les effets secondaires qu ilx Existe et decedee dans des souffrances atroces au bout de six mois. Au bout decun mois j en ai parle au psychiatre que le traitement ne convenait pas, non il a continue son acharnement ,il est medecin pas moi ,eh bien on verra pitie enlevez ce medicament du marche

Risperdal

04/09/2021 | Femme | 24
risperidone (1mg)
Trouble de personnalité borderline

Efficacité

Quantité effets secondaires

Je l'ai pris la veille au soir du moment où je poste ce commentaire. Et déjà, là, je peux dire que c'est une catastrophe. Je l'écris en étant encore sous ses effets alors veuillez excuser les fautes et les phrases qui pourraient ne vouloir rien dire mais c'est une énorme erreur que de m'avoir prescrit ça. Je suis atteinte d'un trouble de la personnalité limite (borderline)...lire la suite et on m'a prescrit ça (une psychiatre) pour calmer mes psychoses, mes pulsions. Alors c'est sûr, ça fonctionne mais pas dans le bon sens, surtout quand on me dit que ça prendra 5 jours pour agir. Au bout de 30 minutes hier puisque c'est à prendre 30 min avant le coucher, j'ai senti comme un poids énorme sur les paupières et me suis dit que ça ne faisait qu'agir pour mieux dormir puisque je souffre d'insomnies, fait beaucoup de cauchemars ou de rêves étranges, je n'ai pas un sommeil réparateur, j'ai des pulsions d'automutilations, de l'hyperphagie, des envies suicidaires (sachant que je souffre d'anxio-dépression et d'un trouble de l'anxiété généralisée), je suis triste, très dépendante émotionnellement, bref rien ne va dans ma vie et ça empire depuis des années malgré un suivi thérapeutique qui m'a aidé. Aujourd'hui, tout est bloqué et j'ai perdu foi en la vie mais j'ai voulu essayé un traitement auprès d'une psychiatre très compétente je le pense mais qui a voulu attaquer de fronts mes épisodes de crises. Sauf que je ne me vois pas vivre comme ça pendant des mois, c'est impossible de vivre en ayant l'impression d'être droguée à ce point. C'est cumulé à un autre antidépresseur vu que là j'ai 1/2 comprimé de Risperdal (Rispéridone) et 1 comprimé entier de Morset (Mirtazapine) à prendre le soir et un demi Risperdal matin et soir. Bref, je ne l'ai pris que le soir hier puisque j'ai été prescrite hier et encore ce matin, c'est une horreur. Je suis dans un coltar profond et je ne sais même pas comment j'arrive à écrire ce commentaire n'étant qu'à moitié là, très déconnectée du réel. Je suis seulement consciente que ce médicament n'est pas du tout bon pour mon cerveau et pour moi. J'avais une faim de loup en me réveillant, soif, la gorge très sèche, rien n'allait. Je vais appeler rapidement ma psychiatre pour lui faire part de ce soucis car je ne peux décemment pas rester ainsi. Je déconseille évidemment mais c'est au cas par cas. Je pense que si vous sentez d'emblée que ce médicament vous coupe totalement de vos émotions, il vaut mieux en faire part rapidement au médecin qui vous l'a prescrit et prendre autre chose. Prenez soin de vous ! Je l'ai pris la veille au soir du moment où je poste ce commentaire. Et déjà, là, je peux dire que c'est une catastrophe. Je l'écris en étant encore sous ses effets alors veuillez excuser les fautes et les phrases qui pourraient ne vouloir rien dire mais c'est une énorme erreur que de m'avoir prescrit ça. Je suis atteinte d'un trouble de la personnalité limite (borderline) et on m'a prescrit ça (une psychiatre) pour calmer mes psychoses, mes pulsions. Alors c'est sûr, ça fonctionne mais pas dans le bon sens, surtout quand on me dit que ça prendra 5 jours pour agir. Au bout de 30 minutes hier puisque c'est à prendre 30 min avant le coucher, j'ai senti comme un poids énorme sur les paupières et me suis dit que ça ne faisait qu'agir pour mieux dormir puisque je souffre d'insomnies, fait beaucoup de cauchemars ou de rêves étranges, je n'ai pas un sommeil réparateur, j'ai des pulsions d'automutilations, de l'hyperphagie, des envies suicidaires (sachant que je souffre d'anxio-dépression et d'un trouble de l'anxiété généralisée), je suis triste, très dépendante émotionnellement, bref rien ne va dans ma vie et ça empire depuis des années malgré un suivi thérapeutique qui m'a aidé. Aujourd'hui, tout est bloqué et j'ai perdu foi en la vie mais j'ai voulu essayé un traitement auprès d'une psychiatre très compétente je le pense mais qui a voulu attaquer de fronts mes épisodes de crises. Sauf que je ne me vois pas vivre comme ça pendant des mois, c'est impossible de vivre en ayant l'impression d'être droguée à ce point. C'est cumulé à un autre antidépresseur vu que là j'ai 1/2 comprimé de Risperdal (Rispéridone) et 1 comprimé entier de Morset (Mirtazapine) à prendre le soir et un demi Risperdal matin et soir. Bref, je ne l'ai pris que le soir hier puisque j'ai été prescrite hier et encore ce matin, c'est une horreur. Je suis dans un coltar profond et je ne sais même pas comment j'arrive à écrire ce commentaire n'étant qu'à moitié là, très déconnectée du réel. Je suis seulement consciente que ce médicament n'est pas du tout bon pour mon cerveau et pour moi. J'avais une faim de loup en me réveillant, soif, la gorge très sèche, rien n'allait. Je vais appeler rapidement ma psychiatre pour lui faire part de ce soucis car je ne peux décemment pas rester ainsi. Je déconseille évidemment mais c'est au cas par cas. Je pense que si vous sentez d'emblée que ce médicament vous coupe totalement de vos émotions, il vaut mieux en faire part rapidement au médecin qui vous l'a prescrit et prendre autre chose. Prenez soin de vous !

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Merci pour ce témoignage. J'ai l'impression de lire ma propre expérience. Ce qui est difficile à faire, c'est la part des choses entre notre souffrance sans traitement et son évolution naturelle, et les effets du traitement. Par exemple, je faisais des cauchemars avant de prendre le traitement, et ils ont diminué jour après jour. Pour l'automutilation, j'ai été agressif vis à vis de moi même le lendemain de l'arrêt de prise du traitement après 10 jours de prise. Je me sentais pareil que vous au moment de l'introduction du traitement, et dès le lendemain de la première prise, j'ai bien senti un effet physique (était ce émotionnel, tant je redoutais de prendre ce genre de médicament?). Malgré la ressemblance des crises, et le fait qu'on nous a donné le même traitement, mon diagnostique est différent. A force de recherches, de lectures et de témoignages, je me demande si ce secteur de la psychiatrie ne tient pas simplement sur des hypothèses et des études orientées. Comme vous dites, ça devr

13/08/2023 11:47

Réaction:

Merci pour ce témoignage. J'ai l'impression de lire ma propre expérience. Ce qui est difficile à faire, c'est la part des choses entre notre souffrance sans traitement et son évolution naturelle, et les effets du traitement. Par exemple, je faisais des cauchemars avant de prendre le traitement, et ils ont diminué jour après jour. Pour l'automutilation, j'ai été agressif vis à vis de moi même le lendemain de l'arrêt de prise du traitement après 10 jours de prise. Je me sentais pareil que vous au moment de l'introduction du traitement, et dès le lendemain de la première prise, j'ai bien senti un effet physique (était ce émotionnel, tant je redoutais de prendre ce genre de médicament?). Malgré la ressemblance des crises, et le fait qu'on nous a donné le même traitement, mon diagnostique est différent. A force de recherches, de lectures et de témoignages, je me demande si ce secteur de la psychiatrie ne tient pas simplement sur des hypothèses et des études orientées. Comme vous dites, ça devr

13/08/2023 11:47

Réaction:

Merci pour l'avis. Prenez soin de vous.

28/10/2021 08:48

Risperdal

07/06/2021 | Homme | 67
risperidone (1mg)
Dépression

Efficacité

Quantité effets secondaires

Mon époux n était plus la même personne enjoué au bout de 1mois de prise de ce médicament . Mon mari est décédé après 6 mois de prise d un arrêt cardio respiratoire et manque de potassium à l age de 67ans. ce médicament lui a été prescrit par un psychiatre pour dépression !!!

Risperdal

09/04/2021 | Femme | 23
risperidone (2mg)
Inquiétude

Efficacité

Quantité effets secondaires

Les médecins, suite à une hospitalisation sous contrainte, m'ont déclarée psychotique et m'ont administrée de force ce "médicament" qui m'a rendu complètement docile, léthargique. J'étais tout le temps inconfortable, rigide, j'avais perdu le balancement des mains en marchant, j'étais capable de rester assise des heures sans rien faire, la tête vide! Car c'est bien ce que f...lire la suiteait ce médicament, il "vide" la pensée, comme haldol d'ailleurs et les autre antipsychotiques. Ce sont des poisons dangereux qui peuvent causer de nombreux effets secondaires débilitant, y compris la "dyskinésie tardive", un ensemble de mouvement, souvent du visage, involontaires et invalidants. J'ai arrêté risperdal et hormis le fait que j'ai du mal à dormir j'ai de la chance de ne pas avoir d'effet secondaire étant donné que je ne l'ai pas pris longtemps. Mes capacités cognitives reviennent peu à peu, et la différence est flagrante depuis que mon organisme à totalement éliminé risperdal. J'étais un zombie avant. Ce "médicament" vous vole votre âme. Moi qui suis passionnée par les études et pleins d'autres choses, je n'avais plus aucune curiosité intellectuelle. Plus aucun allant vers la vie.

Risperdal

22/03/2021 | Homme | 58
risperidone (2mg)
Inquiétude

Efficacité

Quantité effets secondaires

La Psychiatrie est un DANGER entre des mains de pseudo medecins intéressés par votre POGNON seulement !! 47 euros pour 10 minutes de Consultation !! J en suis a mon 5e Psy pour Aucun resultat...(si, si, c possible..) Je suis passé par une psy qui m a imposé ce "médicament" tres dangereux pour la santé : Lisez la Notice d Emploi de la boite, vous comprendrez !! Ma psy m ...lire la suitea litteralement jeté au fond du trou avec ce "truc", la notice fait 2 pages de 50 cms recto verso !! Pire elle s en fout !! Elle ne m ecoute pas !! Comme tout principe actif, il est dangereux allant jusqu a la Mort Subite !!! Ses effets font de vous un zombie qui se contemple de l exterieur !! C et mon histoire ! j ai cessé d en prendre au bout de 3 semaines, etant stupéfait de réactions que j avais en public :j en etais rendu a parler tout seul dans les magasins, a parler a des inconnus, mes inhibitions etaient tombées & mon sommeil inexistant (2 heures/nuit) J ai arrété d en prendre, ce truc etant pour les schizophrenes, ce que je ne suis pas, juste quelqu un d esquinté par une vie que d autres m ont imposé ! J ai juste "dérivé" comme beaucoup ici, la vie en société ne pardonne pas..Le pire je le repete : Ma PSY se fout COMPLETEMENT de mon Histoire. Elle m assomme avec du Norset (Mirtazapine) & des saloperies genre Xanax + maintenant cette mort interieure : le Risperdal !! Soyez surtout très prudent. (Meamedica.fr: texte raccourci au vécu personnel- )

Risperdal

05/02/2021 | Femme | 29
risperidone (2mg)
Trouble bipolaire / trouble mani dépressif

Efficacité

Quantité effets secondaires

Bonjour je prend du risperdone je nai plus mes règles depuis des mois savez vous s'il y a d autre médicament mieux qui ne sont pas perde les règles svp svp

Risperdal

09/01/2021 | Homme | 29
risperidone (2mg)
Pas dans la liste

Efficacité

Quantité effets secondaires

Je prend ce médicament depuis qu'on m'a diagnostiqué des troubles psychique,depuis la prise j'arrive plus à faire d'effort difficulté concentration comprehension de memoire aussi problème d'érection plus de désir sexuel un cauchemar je deconseille

Risperdal

02/01/2021 | Homme | 49
risperidone (0,5mg)
Trouble bipolaire / trouble mani dépressif

Efficacité

Quantité effets secondaires

A 30 Ans, je suis ingénieur informaticien depuis 8 ans environ, et je souffre de crises de paniques et vomissement, puis quelques mois après cela diplopie qui dure une semaine suivie d'un trouble cognitif diagnostiqué décompensation psychotique (Burn-out)... 3 semaines en hôpital psy, retour rapide à la normale en moins de 48 heures mais resté sous surveillance jusqu'à 3 s...lire la suiteemaines. Important pour comprendre la suite : a l'arrivé en hôpital psy on m'interdit de lire et je reste à l'intérieur sans sortir, bien au chaud... Sans la diplopie, cela se répète 3 ou 4 fois, espacé de 1 an ou 2 ans pour chaque crise. On me propose de choisir entre schizophrénie ou bipolaire ... Il faut bien me mettre dans une case, pour les statistiques et l’administration médicale qui doit cocher des cases sur ses ordinateurs ... Au final, après plus de 15 années d'errance médicale j'ai fini par comprendre que je souffrais d'une hyperphorie : oeil droit (directeur) regarde plus haut que le gauche forte de 6 dioptire (Au delà de 4 ce n'est plus soignable) ce qui explique la crise de diplopie, mais aussi cela provoque une projection du corps penché en avant (même assis, surtout devant un écran d'ordinateur), ce qui explique tout mon parcours médical depuis 5 années avant ma première crise car j'avais été opéré du ménisque au genoux droit (hyper-extension) ; il ne s'agissait pas de décompensation psychotique mais de décompensation posturale, les vomissements et puis le syndrome de reflux gastrique vient d'un tension musculaire qui passe par le pylore qui bloque ou ralenti l'évacuation de l'estomac provoquant des acidoses et putréfactions des FODMAPS (prise de poids importante qui aggrave la projection du corps en avant). Problème également de mon épaule droite qui est plus haute que la gauche, sans doute en lien avec une torsion du buste à droite, qui accompagne la projection du corps en avant. Ce bilan montre que le risperdal ne servait à rien, pas plus que l’hôpital psy... Ce diagnostique était compliqué par une déviation des sinus provoqué avant 10 ans par un accident de ski et qui a entraîné une perte du réflexe respiratoire nasale, entraînant le syndrome de respiration orale, et une remontée du palais en voûte d'église avec un allongement de mon visage. Cela pourrait avoir aggravé ma diplopie ... Aussi la maladie de Lyme diagnostiquée à 3 reprises, même avec 3 semaines d'antibiothérapie ... A noter qu'après ce traitement de 3 semaines ma santé c'était considérablement améliorée, ce qui pourrait prouver un lien entre Lyme l'hyperphorie de l'oeil droit ... J'ai arrêté le Risperdal en 2016 environ, après l'avoir pris pendant 12 ans environ. A forte dose, plus de 4 mg par jour, il était utilisé en psy pour calmer mon éventuelle décompensation, mais cela m’assommait plus qu'autre chose. Le magnésium me faisait plus de bien, de même pour le régime alcalin et la prise de vitamine avec des jus de fruist et légumes, ainsi que les activités réspiratoire, d'étirement et certains sports comme la marche ne pleine nature ou des exercices impliquant des équilibres (slake-line) ... Aujourd'hui je suis engagé dans un parcours en posturologie, mais je reste en recherche d'une solution de prisme sur ma paire de lunette progressive car mon orthoptiste à essayé un prisme classique que j'ai été obligé d'arrêté après un mois de test car lorsque j'enlevais mes lunettes je voyais l'écran d'ordinateur fortement déformé (ligne horizontale qui monte à droite d'environ 6 cm lorsque j'enlevais ma paire de lunette ...) et je ne trouve aucun spécialiste pour expliquer ce problème. Notez que les les diplopies semblent très fréquentes (plus de 80 % de la population serait concernée, souvent avec un écart de moins de 1 dioptrie) mais personne n'en parle, surtout pas les psy ni même les généralistes !!! Je suis diagnostiqué pour mon hyperphorie à 49 ans alors que c'est un problème de naissance, j'ai traversé 4 hôpitaux psy, et je suis resté plus de 17 ans en errance médicale !!!! Et mon orthoptiste n'est pas formé en posturologie et la sécurité sociale et ma mutuelle ne prennent pas en charge le remboursement des parcours en posturologie, qui impliquent tout de même la podologie, l'orthoptiste, l'orthophoniste et orthodontiste ... Je n'aurais jamais dû prendre de médicaments psy, dès le début j'avais parlé à tous les médecins de ma diplopie, et tous ont négligé le symptôme clé de mon problème de la maladie qui me frappait : syndrome de Déficience Posturale. A 30 Ans, je suis ingénieur informaticien depuis 8 ans environ, et je souffre de crises de paniques et vomissement, puis quelques mois après cela diplopie qui dure une semaine suivie d'un trouble cognitif diagnostiqué décompensation psychotique (Burn-out)... 3 semaines en hôpital psy, retour rapide à la normale en moins de 48 heures mais resté sous surveillance jusqu'à 3 semaines. Important pour comprendre la suite : a l'arrivé en hôpital psy on m'interdit de lire et je reste à l'intérieur sans sortir, bien au chaud... Sans la diplopie, cela se répète 3 ou 4 fois, espacé de 1 an ou 2 ans pour chaque crise. On me propose de choisir entre schizophrénie ou bipolaire ... Il faut bien me mettre dans une case, pour les statistiques et l’administration médicale qui doit cocher des cases sur ses ordinateurs ... Au final, après plus de 15 années d'errance médicale j'ai fini par comprendre que je souffrais d'une hyperphorie : oeil droit (directeur) regarde plus haut que le gauche forte de 6 dioptire (Au delà de 4 ce n'est plus soignable) ce qui explique la crise de diplopie, mais aussi cela provoque une projection du corps penché en avant (même assis, surtout devant un écran d'ordinateur), ce qui explique tout mon parcours médical depuis 5 années avant ma première crise car j'avais été opéré du ménisque au genoux droit (hyper-extension) ; il ne s'agissait pas de décompensation psychotique mais de décompensation posturale, les vomissements et puis le syndrome de reflux gastrique vient d'un tension musculaire qui passe par le pylore qui bloque ou ralenti l'évacuation de l'estomac provoquant des acidoses et putréfactions des FODMAPS (prise de poids importante qui aggrave la projection du corps en avant). Problème également de mon épaule droite qui est plus haute que la gauche, sans doute en lien avec une torsion du buste à droite, qui accompagne la projection du corps en avant. Ce bilan montre que le risperdal ne servait à rien, pas plus que l’hôpital psy... Ce diagnostique était compliqué par une déviation des sinus provoqué avant 10 ans par un accident de ski et qui a entraîné une perte du réflexe respiratoire nasale, entraînant le syndrome de respiration orale, et une remontée du palais en voûte d'église avec un allongement de mon visage. Cela pourrait avoir aggravé ma diplopie ... Aussi la maladie de Lyme diagnostiquée à 3 reprises, même avec 3 semaines d'antibiothérapie ... A noter qu'après ce traitement de 3 semaines ma santé c'était considérablement améliorée, ce qui pourrait prouver un lien entre Lyme l'hyperphorie de l'oeil droit ... J'ai arrêté le Risperdal en 2016 environ, après l'avoir pris pendant 12 ans environ. A forte dose, plus de 4 mg par jour, il était utilisé en psy pour calmer mon éventuelle décompensation, mais cela m’assommait plus qu'autre chose. Le magnésium me faisait plus de bien, de même pour le régime alcalin et la prise de vitamine avec des jus de fruist et légumes, ainsi que les activités réspiratoire, d'étirement et certains sports comme la marche ne pleine nature ou des exercices impliquant des équilibres (slake-line) ... Aujourd'hui je suis engagé dans un parcours en posturologie, mais je reste en recherche d'une solution de prisme sur ma paire de lunette progressive car mon orthoptiste à essayé un prisme classique que j'ai été obligé d'arrêté après un mois de test car lorsque j'enlevais mes lunettes je voyais l'écran d'ordinateur fortement déformé (ligne horizontale qui monte à droite d'environ 6 cm lorsque j'enlevais ma paire de lunette ...) et je ne trouve aucun spécialiste pour expliquer ce problème. Notez que les les diplopies semblent très fréquentes (plus de 80 % de la population serait concernée, souvent avec un écart de moins de 1 dioptrie) mais personne n'en parle, surtout pas les psy ni même les généralistes !!! Je suis diagnostiqué pour mon hyperphorie à 49 ans alors que c'est un problème de naissance, j'ai traversé 4 hôpitaux psy, et je suis resté plus de 17 ans en errance médicale !!!! Et mon orthoptiste n'est pas formé en posturologie et la sécurité sociale et ma mutuelle ne prennent pas en charge le remboursement des parcours en posturologie, qui impliquent tout de même la podologie, l'orthoptiste, l'orthophoniste et orthodontiste ... Je n'aurais jamais dû prendre de médicaments psy, dès le début j'avais parlé à tous les médecins de ma diplopie, et tous ont négligé le symptôme clé de mon problème de la maladie qui me frappait : syndrome de Déficience Posturale.

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Risperdal

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