j'ai constaté que cigarette et risperdal pas du tout compatible, dès que je fumer j'avais comme des pensée delirante ou negative, j'ai arreter de fumer depuis plus d'une semaine j'ai constaté que j'avais maintenant très peu d'effets indesirable le mental clair et meme moins de fatigue, j'ai la sensation que l'arret du tabac ma guerri a plus de 70 %, je vapote que de temps...lire la suite en temps pour un soutient en nicotine, mais quand je fumer j'allez vraiement mal surtout quand dans le tabac c'est 4000 substance toxique et chimique donc l'arret du tabac à etait d'une grande aide j'ai constaté que cigarette et risperdal pas du tout compatible, dès que je fumer j'avais comme des pensée delirante ou negative, j'ai arreter de fumer depuis plus d'une semaine j'ai constaté que j'avais maintenant très peu d'effets indesirable le mental clair et meme moins de fatigue, j'ai la sensation que l'arret du tabac ma guerri a plus de 70 %, je vapote que de temps en temps pour un soutient en nicotine, mais quand je fumer j'allez vraiement mal surtout quand dans le tabac c'est 4000 substance toxique et chimique donc l'arret du tabac à etait d'une grande aide

je deconseille aux gens de prendre ces saletés vous detruisez votre vie je deconseille aux gens de prendre ces saletés vous detruisez votre vie

Il y'a 10 ans j'ai été hospitalisé car j'étais suicidaire. Une fois arrivé dans l'unité psychiatrique, j'ai commencé à ne plus sentir mon corps comme d'habitude, j'avais l'impression d'être ailleurs. Mon psychiatre m'a mis sous Risperdal. La prise était au dîner, chez moi ce médicament agissait comme un somnifère, à 20h j'étais au lit. J'avais comme effets secondaires de l...lire la suite'akathisie et une perte de libido. Néanmoins le Risperdal ne m'a jamais rendu complètement amorphe comme chez certaines personnes. Même à 4 mg en 2013, il avait l'effet d'un puissant somnifère chez moi (perte de libido totale par contre). Il a réglé le problème de mon impression d'être "ailleurs"/dans le brouillard. Il m'a aussi beaucoup aidé concernant des TOCs, cependant il s'avère inefficace pour le contrôle de l'impulsivité, propre au fait d'être borderline. Inefficace également pour diminuer l'anxiété sévère. Par contre il aide vraiment à moins ruminer, sans être amorphe. Cependant c'est un médicament qui nécessite de longues nuits de sommeil (10h chez moi). À 1 mg il ne cause pas de problèmes de libido mais au-delà c'est vite la catastrophe. Je n'ai pas pris de poids avec. Mais le gros effet négatif c'est la gynécomastie, vraiment importante chez moi. C'est un médicament que je qualifie de "neutre", il a ses qualités et ses défauts. Je ne sais pas comment j'aurais été 10 ans après ma première prise si je l'avais stoppé, difficile donc de juger. Il y'a 10 ans j'ai été hospitalisé car j'étais suicidaire. Une fois arrivé dans l'unité psychiatrique, j'ai commencé à ne plus sentir mon corps comme d'habitude, j'avais l'impression d'être ailleurs. Mon psychiatre m'a mis sous Risperdal. La prise était au dîner, chez moi ce médicament agissait comme un somnifère, à 20h j'étais au lit. J'avais comme effets secondaires de l'akathisie et une perte de libido. Néanmoins le Risperdal ne m'a jamais rendu complètement amorphe comme chez certaines personnes. Même à 4 mg en 2013, il avait l'effet d'un puissant somnifère chez moi (perte de libido totale par contre). Il a réglé le problème de mon impression d'être "ailleurs"/dans le brouillard. Il m'a aussi beaucoup aidé concernant des TOCs, cependant il s'avère inefficace pour le contrôle de l'impulsivité, propre au fait d'être borderline. Inefficace également pour diminuer l'anxiété sévère. Par contre il aide vraiment à moins ruminer, sans être amorphe. Cependant c'est un médicament qui nécessite de longues nuits de sommeil (10h chez moi). À 1 mg il ne cause pas de problèmes de libido mais au-delà c'est vite la catastrophe. Je n'ai pas pris de poids avec. Mais le gros effet négatif c'est la gynécomastie, vraiment importante chez moi. C'est un médicament que je qualifie de "neutre", il a ses qualités et ses défauts. Je ne sais pas comment j'aurais été 10 ans après ma première prise si je l'avais stoppé, difficile donc de juger.

Suite à un sevrage de Tramadol je suis sous risperdal pour éviter les hallucinations, je garde quelques hallus mais elles sont positives. Je me suis mis à la marche et c'est une vraie drogue, je suis bourré d'énergie. 10000pas par jour. Ça change ma vie. Avec une alimentation ÉQUILIBRÉE je perds 1kg par semaine. N'hésitez plus et allez marcher 30min 3fois/jour ...lire la suiteBonne journée et positivons. Suite à un sevrage de Tramadol je suis sous risperdal pour éviter les hallucinations, je garde quelques hallus mais elles sont positives. Je me suis mis à la marche et c'est une vraie drogue, je suis bourré d'énergie. 10000pas par jour. Ça change ma vie. Avec une alimentation ÉQUILIBRÉE je perds 1kg par semaine. N'hésitez plus et allez marcher 30min 3fois/jour Bonne journée et positivons.

La risperidone m'a beaucoup aidé dans le sens psychique mais m'a detruite dans le sens physique j'ai plus de 25 kilo en même pas un an. Maintenant je l'ai arrêté et je ne trouve pas de médicaments a la même efficacité sans effet prise de poids. La risperidone m'a beaucoup aidé dans le sens psychique mais m'a detruite dans le sens physique j'ai plus de 25 kilo en même pas un an. Maintenant je l'ai arrêté et je ne trouve pas de médicaments a la même efficacité sans effet prise de poids.

bonjour j'ai pris le risperdal depuis mon HP suite à des idées délirantes, je regardais beaucoup la télévision, j'étais soumise à la rêverie et effectivement ce traitement marche du tonnerre. j'étais incapable de rester en place 2 min. je changeais d'activité sans arrêt. j'étais angoissé à l'idée de ne rien faire je regardais sans arrêt l'heure. j'étais pressé de manger ...lire la suitecar c'était le seule moment où je faisais quelque chose.bref le feu aux fesses. ensuite j'ai changé car ils ont pu savoir que je ne prenais pas le traitement donc ils m'ont imposé xeplion en injection tous les mois. je regarde moins l'heure, je suis plus détendu. je prend le temps de faire les choses. il y a une vrai différence. je vous conseille le xeplion. Risperdal c'est puissance 10. bonjour j'ai pris le risperdal depuis mon HP suite à des idées délirantes, je regardais beaucoup la télévision, j'étais soumise à la rêverie et effectivement ce traitement marche du tonnerre. j'étais incapable de rester en place 2 min. je changeais d'activité sans arrêt. j'étais angoissé à l'idée de ne rien faire je regardais sans arrêt l'heure. j'étais pressé de manger car c'était le seule moment où je faisais quelque chose.bref le feu aux fesses. ensuite j'ai changé car ils ont pu savoir que je ne prenais pas le traitement donc ils m'ont imposé xeplion en injection tous les mois. je regarde moins l'heure, je suis plus détendu. je prend le temps de faire les choses. il y a une vrai différence. je vous conseille le xeplion. Risperdal c'est puissance 10.

médicament arreter par mon psychiatre a ma demande car trop d'effet secondaire! médicament arreter par mon psychiatre a ma demande car trop d'effet secondaire!

Prescrit dans le cadre d'un PTSD complexe d'évolution chronique, réfractaire. Dans le but de diminuer les cauchemars et flashback. Prescrit dans le cadre d'un PTSD complexe d'évolution chronique, réfractaire. Dans le but de diminuer les cauchemars et flashback.

Bonjour à tous, je tiens à apporter mon témoignage sur le risperdal. Je suis suivies pour troubles psychiatriques et je prends du Risperdal et du tercian depuis 4 ans. Grâce à ces médicaments et à ma thérapie à côté, j'arrive à avoir une vie sociale à peu près normale et à aller travailler même si c'est difficile. Donc c'est déjà beaucoup au vu de ce qui m'est arrivé...lire la suite. L'embêtant ce sont les effets secondaires : j'ai pris 18 kilogs que je n'arrive pas à reperdre et j'ai de gros problèmes hormonaux. Mais bon, je sais que ce serait très dangereux d'arrêter les médicaments, donc je continue malgré les effets secondaires. Si j'arrêtais je risquerais de me retrouver à l'hôpital au bout d'un mois ou deux je pense, et je tiens à mon poste. Je serais contente d'échanger avec vous sur ces médicaments, et je reste à votre disposition si vous avez des questions. Bonne journée à tous Bonjour à tous, je tiens à apporter mon témoignage sur le risperdal. Je suis suivies pour troubles psychiatriques et je prends du Risperdal et du tercian depuis 4 ans. Grâce à ces médicaments et à ma thérapie à côté, j'arrive à avoir une vie sociale à peu près normale et à aller travailler même si c'est difficile. Donc c'est déjà beaucoup au vu de ce qui m'est arrivé. L'embêtant ce sont les effets secondaires : j'ai pris 18 kilogs que je n'arrive pas à reperdre et j'ai de gros problèmes hormonaux. Mais bon, je sais que ce serait très dangereux d'arrêter les médicaments, donc je continue malgré les effets secondaires. Si j'arrêtais je risquerais de me retrouver à l'hôpital au bout d'un mois ou deux je pense, et je tiens à mon poste. Je serais contente d'échanger avec vous sur ces médicaments, et je reste à votre disposition si vous avez des questions. Bonne journée à tous

J'ai pris du risperdal après une crise psychotique c'était horrible J'ai pris du risperdal après une crise psychotique c'était horrible

Depuis le 15 j'ai pris le risperdal 0,5mg. Je n'ai plus de saut d'humeur en revanche g pris 6 kg depuis le 15 juin .alors que je me dépense je mange moins qu'avant. Je n'ai plus d'appétit. Et je bois beaucoup 2 litre d'eau par jour alors qu'avant je ne buvait pas assez. Je ne suis plus réglée. J'ai arrêté ma pilule il y a 8 jours et je pas eu mes règles. Depuis le 15 j'ai pris le risperdal 0,5mg. Je n'ai plus de saut d'humeur en revanche g pris 6 kg depuis le 15 juin .alors que je me dépense je mange moins qu'avant. Je n'ai plus d'appétit. Et je bois beaucoup 2 litre d'eau par jour alors qu'avant je ne buvait pas assez. Je ne suis plus réglée. J'ai arrêté ma pilule il y a 8 jours et je pas eu mes règles.

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Pour la première fois après 11 ans de traitement que je prends habituellement au coucher, j'ai voulu essayer de prendre le Risperdal en journée, par curiosité. Je ne recommencerai pas. La prise est aisée, le comprimé est orodispersible. 40 minutes après la fatigue apparaît, de façon supportable, on baille. Puis plus le temps s'écoule, plus on est fatigué, sauf que ce n'est...lire la suite pas une fatigue agréable non, on se sent anxieux, avec une légère agitation, les activités deviennent pénibles, c'est difficile à supporter. Aucun soulagement par rapport à ce médicament dans l'immédiat du moins, au contraire, on se sent mal dans sa peau. J'imagine pas ce que cela serait avec la formule à "libération prolongée". Pour la première fois après 11 ans de traitement que je prends habituellement au coucher, j'ai voulu essayer de prendre le Risperdal en journée, par curiosité. Je ne recommencerai pas. La prise est aisée, le comprimé est orodispersible. 40 minutes après la fatigue apparaît, de façon supportable, on baille. Puis plus le temps s'écoule, plus on est fatigué, sauf que ce n'est pas une fatigue agréable non, on se sent anxieux, avec une légère agitation, les activités deviennent pénibles, c'est difficile à supporter. Aucun soulagement par rapport à ce médicament dans l'immédiat du moins, au contraire, on se sent mal dans sa peau. J'imagine pas ce que cela serait avec la formule à "libération prolongée".

On m'a introduit le Risperdal (2mg) et mis sous observation à l'hôpital après une crise psychotique, dite bouffée délirante aigüe. Est ce que c'est ce médicament, ou les benzodiazepines, ou le temps et l'installation de la condition qui ont fait que mes symptômes de crise ont diminué (anxiété et crises de panique maximum, idées suicidaires, délire de persécution, désorgani...lire la suitesation...). Après presque un an, j'ai pu le diminuer progressivement à 1mg. Ce qu'on peut dire, c'est que dans l'ensemble je suis calmé, ça c'est le moins qu'on puisse dire, mais là aussi, est ce une attitude naturelle de ma part vu ce que je traverse ou l'effet du médicament? Car de temps en temps, je sens que le délire n'est pas loin, et les hallucinations olfactives il m'arrive d'en avoir encore aussi. Je crois qu'un travail psychothérapeutique peut aider à traiter ma condition et les problèmes de fond. J'ai aussi toujours du mal à me sentir à l'aise dans les interactions sociales. Ce traitement agit essentiellement sur la crise, mais pour le reste, il ne fait pas grand chose, au contraire, il a tendance à endormir, et à encourager l'installation dans la léthargie et à émousser les émotions et sentiments, et à alourdir physiquement et mentalement. On m'a introduit le Risperdal (2mg) et mis sous observation à l'hôpital après une crise psychotique, dite bouffée délirante aigüe. Est ce que c'est ce médicament, ou les benzodiazepines, ou le temps et l'installation de la condition qui ont fait que mes symptômes de crise ont diminué (anxiété et crises de panique maximum, idées suicidaires, délire de persécution, désorganisation...). Après presque un an, j'ai pu le diminuer progressivement à 1mg. Ce qu'on peut dire, c'est que dans l'ensemble je suis calmé, ça c'est le moins qu'on puisse dire, mais là aussi, est ce une attitude naturelle de ma part vu ce que je traverse ou l'effet du médicament? Car de temps en temps, je sens que le délire n'est pas loin, et les hallucinations olfactives il m'arrive d'en avoir encore aussi. Je crois qu'un travail psychothérapeutique peut aider à traiter ma condition et les problèmes de fond. J'ai aussi toujours du mal à me sentir à l'aise dans les interactions sociales. Ce traitement agit essentiellement sur la crise, mais pour le reste, il ne fait pas grand chose, au contraire, il a tendance à endormir, et à encourager l'installation dans la léthargie et à émousser les émotions et sentiments, et à alourdir physiquement et mentalement.

On m'a introduit ce traitement à la suite de crise psychotique avec mise sous observation à l'hôpital. Est ce l'effet de l'hospitalisation, des benzodiazepine, ou du temps et de l'acceptation ou familiarisation à ma condition, mais au fil des jours, j'ai senti diminuer les symptômes de la psychose (délires paranoïaque interprétatifs, sensation de déréalisation extrême, ins...lire la suiteomnies et cauchemars, catatonie, très forte anxiété et crise de paniques). La dose de départ était 2 mg par jour. J'ai demandé durant l'hospitalisation de passer à 3mg pour essayer. Puis j'ai diminué à 2,5mg à la sortie de l'hôpital avant de passer à 2mg à nouveau, puis 1,5 mg. Je ne recommande à personne de diminuer par des doses aussi importantes. Après recherches, il semblerait que des diminutions de doses beaucoup plus faibles permettent de limiter les effets de sevrages qui les accompagnent. Exemple : 10% de la dose précédente tous les mois, ou 2,5% de la dose précédente par semaine pendant 4 semaines, avant pose de 2 semaines. En tout cas renseignez vous bien avant de planifier une diminution, les psychiatres ne sont pas tous très renseignés là dessus. Et si vous diminuez trop fort, il se peut que les symptômes de sevrages soient confondus avec un "retour de la maladie", une confusion qui n'arrange rien ni personne. On m'a introduit ce traitement à la suite de crise psychotique avec mise sous observation à l'hôpital. Est ce l'effet de l'hospitalisation, des benzodiazepine, ou du temps et de l'acceptation ou familiarisation à ma condition, mais au fil des jours, j'ai senti diminuer les symptômes de la psychose (délires paranoïaque interprétatifs, sensation de déréalisation extrême, insomnies et cauchemars, catatonie, très forte anxiété et crise de paniques). La dose de départ était 2 mg par jour. J'ai demandé durant l'hospitalisation de passer à 3mg pour essayer. Puis j'ai diminué à 2,5mg à la sortie de l'hôpital avant de passer à 2mg à nouveau, puis 1,5 mg. Je ne recommande à personne de diminuer par des doses aussi importantes. Après recherches, il semblerait que des diminutions de doses beaucoup plus faibles permettent de limiter les effets de sevrages qui les accompagnent. Exemple : 10% de la dose précédente tous les mois, ou 2,5% de la dose précédente par semaine pendant 4 semaines, avant pose de 2 semaines. En tout cas renseignez vous bien avant de planifier une diminution, les psychiatres ne sont pas tous très renseignés là dessus. Et si vous diminuez trop fort, il se peut que les symptômes de sevrages soient confondus avec un "retour de la maladie", une confusion qui n'arrange rien ni personne.

je prends de la rispéridone en injection de Xeplion 75mg mensuelle, suite à des bouffées délirantes ( crises de paranoïa et mégalomanie). Ce traitement aurait pour but de m'empêcher de refaire une crise psychotique, cependant il n'y a aucune certitude sur le fait que cette molécule soit la bonne pour moi pour empêcher la survenue d'une nouvelle bouffée, et le jour où j'en...lire la suite ferai une, ce sera certainement la preuve de son inefficacité, donc en fait je ne sais pas si c'est un médicament adapté pour moi, c'est une hypothétique camisole que l'on m'a imposée. En tout cas, je ne ressens aucun effet bénéfique sur mon état, risperdal ne m'aide absolument pas à vivre mieux, ni à m'épanouir et à me sentir bien, pour moi c'est comme si je ne prenais rien, ça ne m'aide pas à être moins anxieux et angoissé, et ça ne règle pas les problématiques de fond, le mal être général et le reste , en clair je ne me sens pas soigné... je prends de la rispéridone en injection de Xeplion 75mg mensuelle, suite à des bouffées délirantes ( crises de paranoïa et mégalomanie). Ce traitement aurait pour but de m'empêcher de refaire une crise psychotique, cependant il n'y a aucune certitude sur le fait que cette molécule soit la bonne pour moi pour empêcher la survenue d'une nouvelle bouffée, et le jour où j'en ferai une, ce sera certainement la preuve de son inefficacité, donc en fait je ne sais pas si c'est un médicament adapté pour moi, c'est une hypothétique camisole que l'on m'a imposée. En tout cas, je ne ressens aucun effet bénéfique sur mon état, risperdal ne m'aide absolument pas à vivre mieux, ni à m'épanouir et à me sentir bien, pour moi c'est comme si je ne prenais rien, ça ne m'aide pas à être moins anxieux et angoissé, et ça ne règle pas les problématiques de fond, le mal être général et le reste , en clair je ne me sens pas soigné...