Efficacité
Quantité effets secondaires
Un jour, je décidé d'aller me faire évaluer en interne, à l'hôpital psychiatrique pour clarifier mon état de santé suite à une période stressante et instable depuis trop de temps, voir des années de crises et de changement de médicament.
Après 1 mois et demi, j'accepte un suivi en externe, au même lieu que ma thérapie interne. Dans cette période, j'accepte de faire co...lire la suitenfiance à l'équipe médicale et je gère un jour à la fois en adaptant progressivement une nouvelle médication tout en contrôlant ma pression artériel.
Je prends 1 comprimé de paroxétine par jour. Je prends 1 demi comprimé de aténolol pour stabiliser ma pression avec 1 comprimé de hydrochlorothiazide 12.5 mg pour ma pression par jour.
Je me sens si bien que je décide d'aller travailler durant l'attente de ma thérapie externe. Je décide de commencer à travailler. J'ai pris le goût du travail car je me sentais bien.
L' attente de ma thérapie externe fût courte de quelques mois. Une fois commencée, la thérapie dure 6 mois durant laquelle, je suis réévaluée. Le médecin essai de me dire approximativement c'est quoi le diagnostique et semble hésiter...Il ferme le dossier en m'annonçant sa retraite.
Pourquoi ce vide intérieur et le jeu compulsif qui revient?
Les crises revenaient sous forme de tension en après- midi et je tremble. La routine du travail est là et je suis moins patiente, ce que je présume une baisse de motivation causée par un vide intérieur inexplicable à ce moment.
Les gens me tombent sur les nerfs au travail et après 2 ans, je me plaint au patron sur des contrariants postes inappropriés et je change d'emploi en déposant une plainte au bureau d'emploi en croyant que cela va faire des feux d'artifice et me donner raison de mon départ.
Je termine un score avec 2 ans en compagnie de d'autres malades en poste que je pique sans arrêt à la moindre contrariété adverse en riposte de mes critiques. Je demande alors de quitter en douce sans faire d'éclat et en harmonie sinon je prétexte refaire des crises de paniques par sentiment de rejet.
Je vie l'isolement en attente que le saint esprit va me donner une idée de génie pour sortir de chez-moi sans aller jouer.
J' ai diminué le paroxétine 1 fois 0.5 par comprimé au besoin pour diminuer les symptômes de crise de panique chronique permanente.
Je continue à prendre les autres médicaments en espérant que le sevrage du paroxétine reprenne de la force en moi car je suis en mode routine.
J'ai commencé à travaller sur un programme d'emploi pour personnes avec contraintes sévères à l'emploi tout en conservant mon barème maladie permanent, ce qui enlevait une grosse partie de mon anxiété car je choisissais un emploi que j'aime faire.
1 demi comprimé de paroxétine depuis 4 jours (20 mg divisé en 2) Que faire? C'est la roue qui tourne, je suis diagnostiquée borderline!
Un jour, je décidé d'aller me faire évaluer en interne, à l'hôpital psychiatrique pour clarifier mon état de santé suite à une période stressante et instable depuis trop de temps, voir des années de crises et de changement de médicament.
Après 1 mois et demi, j'accepte un suivi en externe, au même lieu que ma thérapie interne. Dans cette période, j'accepte de faire confiance à l'équipe médicale et je gère un jour à la fois en adaptant progressivement une nouvelle médication tout en contrôlant ma pression artériel.
Je prends 1 comprimé de paroxétine par jour. Je prends 1 demi comprimé de aténolol pour stabiliser ma pression avec 1 comprimé de hydrochlorothiazide 12.5 mg pour ma pression par jour.
Je me sens si bien que je décide d'aller travailler durant l'attente de ma thérapie externe. Je décide de commencer à travailler. J'ai pris le goût du travail car je me sentais bien.
L' attente de ma thérapie externe fût courte de quelques mois. Une fois commencée, la thérapie dure 6 mois durant laquelle, je suis réévaluée. Le médecin essai de me dire approximativement c'est quoi le diagnostique et semble hésiter...Il ferme le dossier en m'annonçant sa retraite.
Pourquoi ce vide intérieur et le jeu compulsif qui revient?
Les crises revenaient sous forme de tension en après- midi et je tremble. La routine du travail est là et je suis moins patiente, ce que je présume une baisse de motivation causée par un vide intérieur inexplicable à ce moment.
Les gens me tombent sur les nerfs au travail et après 2 ans, je me plaint au patron sur des contrariants postes inappropriés et je change d'emploi en déposant une plainte au bureau d'emploi en croyant que cela va faire des feux d'artifice et me donner raison de mon départ.
Je termine un score avec 2 ans en compagnie de d'autres malades en poste que je pique sans arrêt à la moindre contrariété adverse en riposte de mes critiques. Je demande alors de quitter en douce sans faire d'éclat et en harmonie sinon je prétexte refaire des crises de paniques par sentiment de rejet.
Je vie l'isolement en attente que le saint esprit va me donner une idée de génie pour sortir de chez-moi sans aller jouer.
J' ai diminué le paroxétine 1 fois 0.5 par comprimé au besoin pour diminuer les symptômes de crise de panique chronique permanente.
Je continue à prendre les autres médicaments en espérant que le sevrage du paroxétine reprenne de la force en moi car je suis en mode routine.
J'ai commencé à travaller sur un programme d'emploi pour personnes avec contraintes sévères à l'emploi tout en conservant mon barème maladie permanent, ce qui enlevait une grosse partie de mon anxiété car je choisissais un emploi que j'aime faire.
1 demi comprimé de paroxétine depuis 4 jours (20 mg divisé en 2) Que faire? C'est la roue qui tourne, je suis diagnostiquée borderline!
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