Suite à des changements d horaires dans mon travail 3/ 8 ,pression professionnelle et familiale intense, j ai demandé à mon médecin traitant de m.aider.Mise sous anxiolytiques forts que je n ai pas continué, j étais cariste,j ai fini par prendre la responsabilité d aller en hp pendant 15 jours,je perdai complètement pied.A 53 ans ,j avais toujours eu la tête dans le guidon...lire la suite et je m étais oubliée et pas assez protégée. Diagnostique depression autolytique . Suite à des changements d horaires dans mon travail 3/ 8 ,pression professionnelle et familiale intense, j ai demandé à mon médecin traitant de m.aider.Mise sous anxiolytiques forts que je n ai pas continué, j étais cariste,j ai fini par prendre la responsabilité d aller en hp pendant 15 jours,je perdai complètement pied.A 53 ans ,j avais toujours eu la tête dans le guidon et je m étais oubliée et pas assez protégée. Diagnostique depression autolytique .

J’en prends tous les soirs depuis plusieurs mois pour des insomnies et crises d’angoisses au coucher qui n’étaient plus supportables. C’est très efficace, je dors d’un sommeil réparateur, légèrement somnolent en début d’après-midi/matin mais bien moins pire qu’en ayant une mauvaise nuit. Par contre l’addiction et l’accoutumance sont un énorme problème. Je ne peux plus m’...lire la suiteen passer. J’ai essayé pendant 3 semaines, résultat plusieurs jours avec des nuits horribles de 3h de sommeil, je tombais fou. J’en prends tous les soirs depuis plusieurs mois pour des insomnies et crises d’angoisses au coucher qui n’étaient plus supportables. C’est très efficace, je dors d’un sommeil réparateur, légèrement somnolent en début d’après-midi/matin mais bien moins pire qu’en ayant une mauvaise nuit. Par contre l’addiction et l’accoutumance sont un énorme problème. Je ne peux plus m’en passer. J’ai essayé pendant 3 semaines, résultat plusieurs jours avec des nuits horribles de 3h de sommeil, je tombais fou.

Rêves éveillés, dépersonnalisation nocturne et matinale, fatigue diurne, agressivité diurne augmentée. Ce médicament n'est pas sans risque. Rêves éveillés, dépersonnalisation nocturne et matinale, fatigue diurne, agressivité diurne augmentée. Ce médicament n'est pas sans risque.

Bonjour suite à un accident et médicaments (sulfate de morphine et oxycodone) j'ai dû mal à dormir mon médecin m'a prescrit 2,5mg de lorazépam pour moi je ressens aucun effet pas plus qun dolipran j'aimerais savoir si on peut en prendre 2 sens danger ou faire un mélange sulfate de morphine d'après les site c'est dangereux Bonjour suite à un accident et médicaments (sulfate de morphine et oxycodone) j'ai dû mal à dormir mon médecin m'a prescrit 2,5mg de lorazépam pour moi je ressens aucun effet pas plus qun dolipran j'aimerais savoir si on peut en prendre 2 sens danger ou faire un mélange sulfate de morphine d'après les site c'est dangereux

Je prends un quart de comprimé que je coupe au couteau et j'essaye absolument de ne pas en prendre certains soirs et si je ne dors pas; je ne dors pas, mais est ce qui est énervant, c'est qu'il est difficile de se concentrer sur quoi que ce soit. Je me sens coincée entre somnifères ou pas avec à la suite une dépendance qui me gène un peu car je dormirai plus souvent et les...lire la suite soirs moins difficile à vivre avec ce choix à faire qui m'angoisse d'autant plus. Je suis fumeuse et dépendante au tabac alors ajouter une dépendance de plus, cela me fait penser que mon mal être enrichi l'industrie pharmaceutique, qu'ils sont peut être en CDI et que moi je rame seule et cela est peut être normal de ne pas dormir. Je prends un quart de comprimé que je coupe au couteau et j'essaye absolument de ne pas en prendre certains soirs et si je ne dors pas; je ne dors pas, mais est ce qui est énervant, c'est qu'il est difficile de se concentrer sur quoi que ce soit. Je me sens coincée entre somnifères ou pas avec à la suite une dépendance qui me gène un peu car je dormirai plus souvent et les soirs moins difficile à vivre avec ce choix à faire qui m'angoisse d'autant plus. Je suis fumeuse et dépendante au tabac alors ajouter une dépendance de plus, cela me fait penser que mon mal être enrichi l'industrie pharmaceutique, qu'ils sont peut être en CDI et que moi je rame seule et cela est peut être normal de ne pas dormir.

bien que j'en ai changé de médecin, il suffisait que je dise qu'il m'en fallait, pour que cela me soit prescrit sans sourciller et sans questionnement. Quand j'ai fait part de mes troubles de concentrations, raisonnement,mémoire, etc. il m'a dit que c'était lié à l'âge et certainement pas au lorazépam, et qu'un examen clinique approfondi s'avérait inutile. Après ce ty...lire la suitepe de réponse, je n'ai plus osé en parler. pertes de mémoires, impossibilité de raisonner efficacement, de prendre des décisions, de mesurer les conséquences, sautes d'humeur, manque de concentration, les médecins me l'ont fait prendre pendant des années, j'ai arrêté sur ma décision, passer le sevrage, les facultés cognitives sont revenues , mais je dors toujours aussi mal bien que j'en ai changé de médecin, il suffisait que je dise qu'il m'en fallait, pour que cela me soit prescrit sans sourciller et sans questionnement. Quand j'ai fait part de mes troubles de concentrations, raisonnement,mémoire, etc. il m'a dit que c'était lié à l'âge et certainement pas au lorazépam, et qu'un examen clinique approfondi s'avérait inutile. Après ce type de réponse, je n'ai plus osé en parler. pertes de mémoires, impossibilité de raisonner efficacement, de prendre des décisions, de mesurer les conséquences, sautes d'humeur, manque de concentration, les médecins me l'ont fait prendre pendant des années, j'ai arrêté sur ma décision, passer le sevrage, les facultés cognitives sont revenues , mais je dors toujours aussi mal

a mes 50 ans j ai eu ma menopause je ne dormais plus de la nuit chaud froid..mon medecin m a prescrit lorazepam j en prend qu un demi je le prend vers 22 h mais je peux tres bien attendre minuit pour dormir je suis detendue je m endors tt de suite pour une nuit entiere et reveil en pleine forme je ne veux pas m en passer a mes 50 ans j ai eu ma menopause je ne dormais plus de la nuit chaud froid..mon medecin m a prescrit lorazepam j en prend qu un demi je le prend vers 22 h mais je peux tres bien attendre minuit pour dormir je suis detendue je m endors tt de suite pour une nuit entiere et reveil en pleine forme je ne veux pas m en passer

Dans les périodes difficiles de stress au travail mélangé à des problèmes de couple. Je n'arrive plus à manger ni à dormir, après 4 jours sans dormir et fatiguée comme jamais, j'ai été voir mon medecin qui m'a prescrit ce medicament. Après la grosse période j'ai arrêté et j'en ai pris 1 occasionnellement. Je suis maintenant à nouveau en état de grand stress dû au travai...lire la suitel que j'ai avec plein de responsabilités et toujours au même problème de couple qui font que je réfléchis beaucoup trop sans arrêt mais il faut que je puisse me reposée. Je le prends en allant dormir et je m'endors dans les 20 minutes. Ce médicament est vraiment bien pour mes problèmes. Dans les périodes difficiles de stress au travail mélangé à des problèmes de couple. Je n'arrive plus à manger ni à dormir, après 4 jours sans dormir et fatiguée comme jamais, j'ai été voir mon medecin qui m'a prescrit ce medicament. Après la grosse période j'ai arrêté et j'en ai pris 1 occasionnellement. Je suis maintenant à nouveau en état de grand stress dû au travail que j'ai avec plein de responsabilités et toujours au même problème de couple qui font que je réfléchis beaucoup trop sans arrêt mais il faut que je puisse me reposée. Je le prends en allant dormir et je m'endors dans les 20 minutes. Ce médicament est vraiment bien pour mes problèmes.

Sevrage d’Ativan Bonjour, J’écris ce message pour t’aider si tu as décidé de faire un sevrage d’Ativan. Je l’ai fait moi-même avec succès, mais j’ai trouvé que le web manquait de témoignage pour m’épauler dans ce que je vivais. C’est pourquoi je partage mon expérience aujourd’hui. Après 5 mois d’insomnie, et après avoir tout essayé (mélatonine, advil nuit, valéria...lire la suitene, passiflore, camomille et compagnie) j’ai finalement consulté mon médecin pour un somnifère. Beaucoup de mes proches m’avaient mis en garde contre ce médicament mais j’étais dans le déni, tout ce que je voulais c’était dormir. J’ai eu une prescription pour 30 jours. Les premiers jours, ça a très bien marché, mais rapidement j’ai commencé à ressentir un manque et à me réveiller la nuit. Quand ça arrivait, j’en prenais un deuxième et puis hop, je retrouvais magiquement le sommeil. Je manquais d’information à ce niveau : il ne faut jamais doubler la dose. Comme j’avais terminé mes comprimés un peu plus vite que prévu (10 jours), je pensais simplement aller à la pharmacie et en chercher d’autres. Deuxième erreur; les pharmaciens ne renouvellent pas Ativan comme ça, pcq « ça pourrait causer une dépendance »… Et voilà le moment où j’ai découvert que j’étais devenu dépendante. « Mais moi, je ne suis pas dépendante dans la vie aux substances, ça va bien aller! » pensais-je… Jour 1 : Nuit d’insomnie complète. Après 24 h sans avoir dormi, je suis sortie du lit dans un état d’anxiété extrême. J’ai pleuré comme si je revivais les pires moments de ma vie. Je me suis senti comme si je faisais une overdose de speed. Mon copain m’a consolé, m’a aidé à prendre une douche (j’étais très faible et je tremblais) et est allé nous chercher à manger et on a regardé un film… à 7h du matin. J’avais constamment froid. J’ai réussi à dormir 1 heure en avant-midi. J’ai appelé une amie massothérapeute qui m’a dis d’aller la rejoindre pour un massage. En tournant le premier coin de rue, j’ai réalisé que je ne pouvais pas conduire. Je fouille alors le web pour savoir ce qui m’arrive. « Il est fortement déconseillé d’arrêter Ativan cold turkey, ça pourrait vous causer beaucoup d’effets secondaires et mener à l’hopitalisation. » Ok, c’est noté. C'est pas comme si j’avais le choix, hein. J’avoue avoir pensé une seconde essayer d’aller trouver le dealer du coin mais c’est pas trop mon truc, mauvaise idée. J’ai ensuite pensé d’acheter le pharmacien, mais j’avais pas envie de m’humilier. J’ai décidé de passer au travers. « De toute façon, c’est pas comme si ça allait durer une semaine » pensais-je naïvement. Jour 2 : Nuit d’insomnie complète encore. Je me sens encore en bad trip. Le mental est hyperactif mais je n’arrive pas a me concentrer sur qqch en particulier. Je me sens un peu moins pire, mais en rien mieux. Je réussi à accomplir quelques tâches à la maison et même aller faire les courses, mais je vois tout comme une montagne et perd courage. Regain d’énergie suivi de chute d’énergie sans prévenir. Les tremblements continuent (quand je parle de tremblement, je veux parler d’un grand tremblement interne, à débit très rapide, qui prend au cœur, au ventre, et se transpose dans les mains). Je n’ai envie de rien faire. Désintérêt pour tout, mais je suis dans un état de stress et d’agitation extrême. Je voudrais réussir à faire quelque chose mais j’ai du mal à y arriver. Je ne dors pas en journée car je me dis que si je m’endure, je pourrai peut-être dormir la nuit et retrouver un cycle normal. Ce n’est pas arrivé. Jour 3 : Nuit d’insomnie complète encore. Je me lève exténuée, à bout d’avoir trop essayé de dormir sans avoir réussis. Un rien me fait pleurer. J’ai une tête cauchemardesque. Avec mon copain, qui me supporte énormément, on en conclut deux choses : je ne dois jamais reprendre d’Ativan de ma vie, et je dois quitter mon travail, origine de mon anxiété, jusqu'à ce que je gère mieux mon stress et que j’aie retrouvé la paix. Je dors 4 heures avec intermittences en avant midi. 4 heures remplies de cauchemars, mais aussi de rêves de (feu) mon grand-père qui me supporte. En après-midi, nous allons à la campagne chez ma belle-mère qui me sert du vin et un repas copieux. Ça me fait du bien. Le soir venu, j’envoie un courriel à ma directrice exprimant ma décision de terminer mon contrat. Je prends un aide-sommeil genre « benadril » sur les conseils d’un pharmacien après m’être confessée. Je me couche satisfaite. Jour 4 : J’ai réussi à dormir 5 heures avec intermittences. Je me lève mais je suis à l’opposée d’être en forme. J’aurais dormi pendant 30 heures facilement, mais j’avais des engagements cette journée-là. Je me prépare un peu maladroitement, oubliant des choses très simples et en étant éparpillé sur 4 tâches en même temps. Au cours de la journée, rien ne va plus. Je me sens en chute de pression ou en hypoglycémie, je ne sais pas trop. Je me sens soudainement comme si j’avais bu 5 Red Bulls. Je mange un Mc Do en catastrophe (resto le plus proche de moi à ce moment-là, oblige) et ça passe. C’est cette journée-là que les crises commencent. Jour 5 : Malheureusement je n’ai pas réussis à retrouver la sérénité de la nuit précédente. Je n’ai pas dormi. Je dors 3 heures en avant midi. Je dois aller travailler pour ma dernière semaine. Ma journée se passe en alternance soleil/crise. Une crise, c’est comme un grand tremblement interne, un grave état de stress sans aucune raison, sans savoir pourquoi. J’ai plus chaud et je su. Juste me lever d’une chaise peut déclencher une crise. Comme je dois garder le contrôle sur moi devant les autres au travail, j’essaie de m’éclipser aux toilettes ou devant une fenêtre pour que ça paraisse moins. Je feins d’avoir une grippe. Les crises, lorsqu’elles arrivent, me paraissent interminables. Cette journée-là j’ai eu environ 10 crises variant entre 5 et 25 minutes. J’ai aussi eu une pensée pour l’Ativan. Je me suis mise à penser que je pourrais peut-être aller en chercher quand je le pourrais, « mais juste un, pour dormir, après c’est tout ». J’ai chassé cette pensé. J’étais juste découragée et sans repères sur quand allait prendre fin le sevrage. Jour 6 : Même chose que jour 5, mais avec un peu moins de crise. (ou environ pareil, mais je sais mieux les gérer) Je ne dors pas plus. Même impression de red bull, mais disons qu’on descend à 3 au lieu de 5. Jour 7 : Avant dernier jour de travail. Cette pensée m’a fait me coucher avec un sourire. J’ai dormi 5 heures avec intermittences. Je me lève et me rend compte au bout d’un moment que je n’ai plus de crises. Un poids entre les omoplates est disparu. Je passe une belle journée jusqu’à ce qu’un évènement me contrarie au travail. Je réalise dès lors que je n’aie plus la patience et la tolérance pour continuer et que ma décision était la bonne. Je dois me reposer. First things first. Jour 8 : Le sevrage semble être terminé. Reste le weekend à passer, quelques heures supp. À la maison, plus qu’un jour de travail. L’insomnie domine encore mes nuits mais je vois la ligne d’arrivée. Je sais que j’y arriverai bientôt. Mon sevrage m’aura pris 7 jours bien comptés. J’espère que je t’ai aidé un peu. Pour soulager les effets du sevrage, arme-toi de citron, gingembre et miel en infusion. Ça aide à calmer un peu et ça prévient d’attraper un virus alors que tes défenses sont au plus bas. Mange de bons repas caloriques et bois de l’eau. Ça va finir par passer. Je n’ai pas ressenti de dépendance psychologique. C’était surtout physique. Sevrage d’Ativan Bonjour, J’écris ce message pour t’aider si tu as décidé de faire un sevrage d’Ativan. Je l’ai fait moi-même avec succès, mais j’ai trouvé que le web manquait de témoignage pour m’épauler dans ce que je vivais. C’est pourquoi je partage mon expérience aujourd’hui. Après 5 mois d’insomnie, et après avoir tout essayé (mélatonine, advil nuit, valériane, passiflore, camomille et compagnie) j’ai finalement consulté mon médecin pour un somnifère. Beaucoup de mes proches m’avaient mis en garde contre ce médicament mais j’étais dans le déni, tout ce que je voulais c’était dormir. J’ai eu une prescription pour 30 jours. Les premiers jours, ça a très bien marché, mais rapidement j’ai commencé à ressentir un manque et à me réveiller la nuit. Quand ça arrivait, j’en prenais un deuxième et puis hop, je retrouvais magiquement le sommeil. Je manquais d’information à ce niveau : il ne faut jamais doubler la dose. Comme j’avais terminé mes comprimés un peu plus vite que prévu (10 jours), je pensais simplement aller à la pharmacie et en chercher d’autres. Deuxième erreur; les pharmaciens ne renouvellent pas Ativan comme ça, pcq « ça pourrait causer une dépendance »… Et voilà le moment où j’ai découvert que j’étais devenu dépendante. « Mais moi, je ne suis pas dépendante dans la vie aux substances, ça va bien aller! » pensais-je… Jour 1 : Nuit d’insomnie complète. Après 24 h sans avoir dormi, je suis sortie du lit dans un état d’anxiété extrême. J’ai pleuré comme si je revivais les pires moments de ma vie. Je me suis senti comme si je faisais une overdose de speed. Mon copain m’a consolé, m’a aidé à prendre une douche (j’étais très faible et je tremblais) et est allé nous chercher à manger et on a regardé un film… à 7h du matin. J’avais constamment froid. J’ai réussi à dormir 1 heure en avant-midi. J’ai appelé une amie massothérapeute qui m’a dis d’aller la rejoindre pour un massage. En tournant le premier coin de rue, j’ai réalisé que je ne pouvais pas conduire. Je fouille alors le web pour savoir ce qui m’arrive. « Il est fortement déconseillé d’arrêter Ativan cold turkey, ça pourrait vous causer beaucoup d’effets secondaires et mener à l’hopitalisation. » Ok, c’est noté. C'est pas comme si j’avais le choix, hein. J’avoue avoir pensé une seconde essayer d’aller trouver le dealer du coin mais c’est pas trop mon truc, mauvaise idée. J’ai ensuite pensé d’acheter le pharmacien, mais j’avais pas envie de m’humilier. J’ai décidé de passer au travers. « De toute façon, c’est pas comme si ça allait durer une semaine » pensais-je naïvement. Jour 2 : Nuit d’insomnie complète encore. Je me sens encore en bad trip. Le mental est hyperactif mais je n’arrive pas a me concentrer sur qqch en particulier. Je me sens un peu moins pire, mais en rien mieux. Je réussi à accomplir quelques tâches à la maison et même aller faire les courses, mais je vois tout comme une montagne et perd courage. Regain d’énergie suivi de chute d’énergie sans prévenir. Les tremblements continuent (quand je parle de tremblement, je veux parler d’un grand tremblement interne, à débit très rapide, qui prend au cœur, au ventre, et se transpose dans les mains). Je n’ai envie de rien faire. Désintérêt pour tout, mais je suis dans un état de stress et d’agitation extrême. Je voudrais réussir à faire quelque chose mais j’ai du mal à y arriver. Je ne dors pas en journée car je me dis que si je m’endure, je pourrai peut-être dormir la nuit et retrouver un cycle normal. Ce n’est pas arrivé. Jour 3 : Nuit d’insomnie complète encore. Je me lève exténuée, à bout d’avoir trop essayé de dormir sans avoir réussis. Un rien me fait pleurer. J’ai une tête cauchemardesque. Avec mon copain, qui me supporte énormément, on en conclut deux choses : je ne dois jamais reprendre d’Ativan de ma vie, et je dois quitter mon travail, origine de mon anxiété, jusqu'à ce que je gère mieux mon stress et que j’aie retrouvé la paix. Je dors 4 heures avec intermittences en avant midi. 4 heures remplies de cauchemars, mais aussi de rêves de (feu) mon grand-père qui me supporte. En après-midi, nous allons à la campagne chez ma belle-mère qui me sert du vin et un repas copieux. Ça me fait du bien. Le soir venu, j’envoie un courriel à ma directrice exprimant ma décision de terminer mon contrat. Je prends un aide-sommeil genre « benadril » sur les conseils d’un pharmacien après m’être confessée. Je me couche satisfaite. Jour 4 : J’ai réussi à dormir 5 heures avec intermittences. Je me lève mais je suis à l’opposée d’être en forme. J’aurais dormi pendant 30 heures facilement, mais j’avais des engagements cette journée-là. Je me prépare un peu maladroitement, oubliant des choses très simples et en étant éparpillé sur 4 tâches en même temps. Au cours de la journée, rien ne va plus. Je me sens en chute de pression ou en hypoglycémie, je ne sais pas trop. Je me sens soudainement comme si j’avais bu 5 Red Bulls. Je mange un Mc Do en catastrophe (resto le plus proche de moi à ce moment-là, oblige) et ça passe. C’est cette journée-là que les crises commencent. Jour 5 : Malheureusement je n’ai pas réussis à retrouver la sérénité de la nuit précédente. Je n’ai pas dormi. Je dors 3 heures en avant midi. Je dois aller travailler pour ma dernière semaine. Ma journée se passe en alternance soleil/crise. Une crise, c’est comme un grand tremblement interne, un grave état de stress sans aucune raison, sans savoir pourquoi. J’ai plus chaud et je su. Juste me lever d’une chaise peut déclencher une crise. Comme je dois garder le contrôle sur moi devant les autres au travail, j’essaie de m’éclipser aux toilettes ou devant une fenêtre pour que ça paraisse moins. Je feins d’avoir une grippe. Les crises, lorsqu’elles arrivent, me paraissent interminables. Cette journée-là j’ai eu environ 10 crises variant entre 5 et 25 minutes. J’ai aussi eu une pensée pour l’Ativan. Je me suis mise à penser que je pourrais peut-être aller en chercher quand je le pourrais, « mais juste un, pour dormir, après c’est tout ». J’ai chassé cette pensé. J’étais juste découragée et sans repères sur quand allait prendre fin le sevrage. Jour 6 : Même chose que jour 5, mais avec un peu moins de crise. (ou environ pareil, mais je sais mieux les gérer) Je ne dors pas plus. Même impression de red bull, mais disons qu’on descend à 3 au lieu de 5. Jour 7 : Avant dernier jour de travail. Cette pensée m’a fait me coucher avec un sourire. J’ai dormi 5 heures avec intermittences. Je me lève et me rend compte au bout d’un moment que je n’ai plus de crises. Un poids entre les omoplates est disparu. Je passe une belle journée jusqu’à ce qu’un évènement me contrarie au travail. Je réalise dès lors que je n’aie plus la patience et la tolérance pour continuer et que ma décision était la bonne. Je dois me reposer. First things first. Jour 8 : Le sevrage semble être terminé. Reste le weekend à passer, quelques heures supp. À la maison, plus qu’un jour de travail. L’insomnie domine encore mes nuits mais je vois la ligne d’arrivée. Je sais que j’y arriverai bientôt. Mon sevrage m’aura pris 7 jours bien comptés. J’espère que je t’ai aidé un peu. Pour soulager les effets du sevrage, arme-toi de citron, gingembre et miel en infusion. Ça aide à calmer un peu et ça prévient d’attraper un virus alors que tes défenses sont au plus bas. Mange de bons repas caloriques et bois de l’eau. Ça va finir par passer. Je n’ai pas ressenti de dépendance psychologique. C’était surtout physique.

passage de lorazepam promethazine à lormetazepam promethazine est un échec complet. 4 mg lormetazepam ! cela ne fait rien (plus rien). espère que passage à stilnoct 10 (zolpidem) aura de l'effet. sinon le bon vieux mogadon peut-être une solution (hélas de nouveau un benzo...) passage de lorazepam promethazine à lormetazepam promethazine est un échec complet. 4 mg lormetazepam ! cela ne fait rien (plus rien). espère que passage à stilnoct 10 (zolpidem) aura de l'effet. sinon le bon vieux mogadon peut-être une solution (hélas de nouveau un benzo...)

j'ai un autre maintenant du pharmacien. je ne dors plus et je pense que je deviens folle. avec celui de sandoz cela allait bien. j'ai un autre maintenant du pharmacien. je ne dors plus et je pense que je deviens folle. avec celui de sandoz cela allait bien.