Efficacité
Quantité effets secondaires
J'étais hospitalisé sous contraint a la demande de mon ex épouse en France tant que étranger sans la capacité de communiquer effectivement en français. A ce moment, et jusqu'a ce jour je trouve, ce hospitalisation abusif, loin d'être nécessaire, et très effrayant. L'hôpital et ses médecins ne m'as jamais expliqué rien, et ils m'ont obligé à prendre cet médicament, et i...lire la suitels ont dit que si j'arrête il peut poser des problèmes.
Ce médicament m'a rendu somnolent. C'est à dire que j'étais beaucoup moins alerte, que je n'arrivais pas a remarquer beaucoup des choses qui s'est passé que les autres au tour de moi remarque. Ca a eu un effet fort d'aliénation et isolation; cet aspect de ce médicament à augmenté les effets de stigmatisation et a donné des fois des impressions que j'étais incohérent. Cet effet a aussi rendu mon entourage beaucoup plus méfiant sur mes capacités, independent de medicament.
Ce médicament m'a ralenti cognitivement. J'étais moins capable de faire plusieurs de choses à la fois et j'ai arrivé au conclusions beaucoup plus lentement. Peut-être ceçi est aussi "somnolence", mais un somnolence cognitive on dirai.
Un autre aspect de somnolence est troubles de memoire. Dès que je n'ai pas pu remarqué sur tout qui se passe au tour de moi, si j'ai raté a voir qq chose qui est devenu pertinent, ce n'était pas forcement possible à distingué une faute de capacité de le noter d'une faute de capacité de le souvenir. Je suis devenu très sensible à ce sujet, et j'ai commencé à noter si j'ai pu me souvenir des numéros de téléphone, des noms, des trajets sur une carte, etc. Ma capacité a faire tous ça à améliorer beaucoup pendant plusieurs des mois d'arrêt.
Ce médicament m'a donné des vertiges avec de plus en plus de fréquence. Il a commencé qq fois par ans, et à la fin, c'était qq fois par semaine. J'ai eu une sensation de perte partiel de connaissance, comme une ampoule qui clignote qui m'a conduit à des vertiges.
J'ai été forcé à prendre ce medicament à l'étranger -- c'est à dire en France tant que anglophone traité par francophones. Je pense que c'est une très mauvaise idée pour des psychiatres a traité des patients qui ne parlent pas leur langue. Effectivement, je n'ai pas eu la capacité de communiquer, ni d'apprendre comment communiquer, ces effets. Les effets de somnolence et son stigmatisation ont était amplifié par ce contexte.
Le truc le plus effrayant de ce médicament est que c'est même difficile pour un patient de se rendre compte de ses effets, par ce que il faut du temps pour que ça commence à agir, et car les cotés négatifs des effets attaque même la capacité de percevoir et de communiquer ces effets. A la fois, si on est traité dans le cadre de désaccord "normal" -- cultural, philosophique, entre époux qui ne communiquent pas, etc, on devient vachement moins embetants pour ces autres et ils donc ont un tendance à apprécier le somnolence car le patient devient moins capable.
Je trouve pas prudent l'ordonnance de ce médicament hors hospitalisation complet car les efféts negatifs comprennent une diminuation de la capacité de percevoir les problémes. J'ai aussi cet avis sur autres psychotropes.
J'étais hospitalisé sous contraint a la demande de mon ex épouse en France tant que étranger sans la capacité de communiquer effectivement en français. A ce moment, et jusqu'a ce jour je trouve, ce hospitalisation abusif, loin d'être nécessaire, et très effrayant. L'hôpital et ses médecins ne m'as jamais expliqué rien, et ils m'ont obligé à prendre cet médicament, et ils ont dit que si j'arrête il peut poser des problèmes.
Ce médicament m'a rendu somnolent. C'est à dire que j'étais beaucoup moins alerte, que je n'arrivais pas a remarquer beaucoup des choses qui s'est passé que les autres au tour de moi remarque. Ca a eu un effet fort d'aliénation et isolation; cet aspect de ce médicament à augmenté les effets de stigmatisation et a donné des fois des impressions que j'étais incohérent. Cet effet a aussi rendu mon entourage beaucoup plus méfiant sur mes capacités, independent de medicament.
Ce médicament m'a ralenti cognitivement. J'étais moins capable de faire plusieurs de choses à la fois et j'ai arrivé au conclusions beaucoup plus lentement. Peut-être ceçi est aussi "somnolence", mais un somnolence cognitive on dirai.
Un autre aspect de somnolence est troubles de memoire. Dès que je n'ai pas pu remarqué sur tout qui se passe au tour de moi, si j'ai raté a voir qq chose qui est devenu pertinent, ce n'était pas forcement possible à distingué une faute de capacité de le noter d'une faute de capacité de le souvenir. Je suis devenu très sensible à ce sujet, et j'ai commencé à noter si j'ai pu me souvenir des numéros de téléphone, des noms, des trajets sur une carte, etc. Ma capacité a faire tous ça à améliorer beaucoup pendant plusieurs des mois d'arrêt.
Ce médicament m'a donné des vertiges avec de plus en plus de fréquence. Il a commencé qq fois par ans, et à la fin, c'était qq fois par semaine. J'ai eu une sensation de perte partiel de connaissance, comme une ampoule qui clignote qui m'a conduit à des vertiges.
J'ai été forcé à prendre ce medicament à l'étranger -- c'est à dire en France tant que anglophone traité par francophones. Je pense que c'est une très mauvaise idée pour des psychiatres a traité des patients qui ne parlent pas leur langue. Effectivement, je n'ai pas eu la capacité de communiquer, ni d'apprendre comment communiquer, ces effets. Les effets de somnolence et son stigmatisation ont était amplifié par ce contexte.
Le truc le plus effrayant de ce médicament est que c'est même difficile pour un patient de se rendre compte de ses effets, par ce que il faut du temps pour que ça commence à agir, et car les cotés négatifs des effets attaque même la capacité de percevoir et de communiquer ces effets. A la fois, si on est traité dans le cadre de désaccord "normal" -- cultural, philosophique, entre époux qui ne communiquent pas, etc, on devient vachement moins embetants pour ces autres et ils donc ont un tendance à apprécier le somnolence car le patient devient moins capable.
Je trouve pas prudent l'ordonnance de ce médicament hors hospitalisation complet car les efféts negatifs comprennent une diminuation de la capacité de percevoir les problémes. J'ai aussi cet avis sur autres psychotropes.
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