le spécialiste du sommeil que j'ai consulté m'a diagnostiqué ainsi, je ne dormais plus depuis plus de 20ans, je suis passée d'un 1/2 cachet à 3 le soir, je me suis retrouvée avec plus de douleurs dans les jambes, il voulait que j'associe un médicament prescrit pour les personnes atteintes de crise d’épilepsie , à ce moment j'ai pris l'avis de mon homéopathe et pharmacien q...lire la suiteui m'ont conseillé de réduire le siffrol, ce que j'ai fait , je suis maintenant à 1 1/2 le soir, et j'associe de l'homéopathie, j'ai vu une neurologue et un autre homéopathe qui m'ont dit que je n'avais aucunement le symdrome des jambes sans repos, mais des troubles neurologiques qui donnent des douleurs articulaires, ligamenteuses qui touchent les muscles et tendons, ce que j'ai réellement, ainsi que la périarthrite de l'épaule droite, par contre je dois diminuer progressivement le siffrol, médicament qui n'est pas anodin, le spécialiste du sommeil que j'ai consulté m'a diagnostiqué ainsi, je ne dormais plus depuis plus de 20ans, je suis passée d'un 1/2 cachet à 3 le soir, je me suis retrouvée avec plus de douleurs dans les jambes, il voulait que j'associe un médicament prescrit pour les personnes atteintes de crise d’épilepsie , à ce moment j'ai pris l'avis de mon homéopathe et pharmacien qui m'ont conseillé de réduire le siffrol, ce que j'ai fait , je suis maintenant à 1 1/2 le soir, et j'associe de l'homéopathie, j'ai vu une neurologue et un autre homéopathe qui m'ont dit que je n'avais aucunement le symdrome des jambes sans repos, mais des troubles neurologiques qui donnent des douleurs articulaires, ligamenteuses qui touchent les muscles et tendons, ce que j'ai réellement, ainsi que la périarthrite de l'épaule droite, par contre je dois diminuer progressivement le siffrol, médicament qui n'est pas anodin,

J'ai pris Sifrol pendant trois semaines, la première semaine en prenant 1 comprimé de 0,56mg par jour en une prise, la deuxième en en prenant 2, et la troisième en en prenant 3. Aucune amélioration, j'avais parfois l'impression d'être défoncée, de tres fortes nausées le matin et durant toute la matinée. J'ai ensuite pris un autre traitement qui n'a pas fonctionné et suu ...lire la suitedonc revenu vers le Sifrol, en prenant le smile doses mais assimilé à deux comprimés de Dompéridone trois fois par jour. Toujours pareil, dan les nausées. J'ai pris Sifrol pendant trois semaines, la première semaine en prenant 1 comprimé de 0,56mg par jour en une prise, la deuxième en en prenant 2, et la troisième en en prenant 3. Aucune amélioration, j'avais parfois l'impression d'être défoncée, de tres fortes nausées le matin et durant toute la matinée. J'ai ensuite pris un autre traitement qui n'a pas fonctionné et suu donc revenu vers le Sifrol, en prenant le smile doses mais assimilé à deux comprimés de Dompéridone trois fois par jour. Toujours pareil, dan les nausées.

J'ai essayé plusieurs médicaments à l'époque (rivotril, requip) mais le seul qui me faisait de l'effet qui me permettait de ne pas être endormi dans la journée c'est le sifrol..mais je ne le prends que pour la nuit. Je précise que le dosage du sifrol est de 0.18mg mais qu'il n'est pas proposé plus haut. (Dosage corrigé - Meamedica.fr) J'ai essayé plusieurs médicaments à l'époque (rivotril, requip) mais le seul qui me faisait de l'effet qui me permettait de ne pas être endormi dans la journée c'est le sifrol..mais je ne le prends que pour la nuit. Je précise que le dosage du sifrol est de 0.18mg mais qu'il n'est pas proposé plus haut. (Dosage corrigé - Meamedica.fr)

Je souffre du syndrome depuis l'adolescence, je me souviens avoir passé des nuits et des journées entières à remuer mes jambes, au lit, à l'école. j'ai passé une grande partie de ma vie sans pouvoir rester assise devant la télé, à lire, ou aller au cinéma.je vivais un vrai suplice et pleurait en marchant et priant que le martyr s'arrête. malgré mes plaintes, jamais le méde...lire la suitecin ne m'avait proposé une solution. j'ai découvert le sifrol à 47 ans lors d'une visite chez le neurologue rencontré pour une fibromyalgie, (je ne sais si les symptômes sont liés) et il a changé ma vie ! quel bonheur de pouvoir s'allonger et apprécier le bien être dans les jambes. par contre, depuis plusieurs mois, le syndrome s'est généralisé, je suis atteinte au niveau du bassin, des hanches, des fesses, du coup et des bras. et si j'ai le malheur d'oublier mon cachet je vis une véritable horreur ! obligée de serrer les fesses et les jambes à l'extrême pour supporter le dérangement, envie de hurler. ce syndrome rend carrément fou ! je prends le cachet vers midi, un cachet entier de 0,7. je ne souffre pas que la nuit, les crises surviennet à n'importe quel moment de la journée, matin, après midi. je me suis aperçue que c'est héréditaire, ma mère en souffre depuis l'enfance, comme moi, et deux de mes fils et ça les rend dingues, ils font des bonds dans leur lit. mon fils ainé a essayé le sifrol, une seule prise, il a une malaise et s'est trouvé dans l'incapacité de conduire, il y a donc différents effets secondaires selon chacun. quoiqu'il en soit, pour moi, c'est miraculeux, je ne peux pas m'en passer, il m'arrive de l'oublier étant souvent occupée par mon travail au moment de la prise mais si je ne m'en aperçois avant 15h, l'enfer commence ! j'ignore à quoi ce mal est dû, je prends peu de café, mon dosage fer, zinc et magnésium est bon. et ça ne touche qu'un tiers de ma famille. qu'avons nous de différent entre nous ? je n'en sais rien. mais je ne veux même pas penser à ce que redeviendrait ma vie sans le sifrol. j'ai peur d'une chose, c'est qu'on ne le trouve pllus sur le marché. Je souffre du syndrome depuis l'adolescence, je me souviens avoir passé des nuits et des journées entières à remuer mes jambes, au lit, à l'école. j'ai passé une grande partie de ma vie sans pouvoir rester assise devant la télé, à lire, ou aller au cinéma.je vivais un vrai suplice et pleurait en marchant et priant que le martyr s'arrête. malgré mes plaintes, jamais le médecin ne m'avait proposé une solution. j'ai découvert le sifrol à 47 ans lors d'une visite chez le neurologue rencontré pour une fibromyalgie, (je ne sais si les symptômes sont liés) et il a changé ma vie ! quel bonheur de pouvoir s'allonger et apprécier le bien être dans les jambes. par contre, depuis plusieurs mois, le syndrome s'est généralisé, je suis atteinte au niveau du bassin, des hanches, des fesses, du coup et des bras. et si j'ai le malheur d'oublier mon cachet je vis une véritable horreur ! obligée de serrer les fesses et les jambes à l'extrême pour supporter le dérangement, envie de hurler. ce syndrome rend carrément fou ! je prends le cachet vers midi, un cachet entier de 0,7. je ne souffre pas que la nuit, les crises surviennet à n'importe quel moment de la journée, matin, après midi. je me suis aperçue que c'est héréditaire, ma mère en souffre depuis l'enfance, comme moi, et deux de mes fils et ça les rend dingues, ils font des bonds dans leur lit. mon fils ainé a essayé le sifrol, une seule prise, il a une malaise et s'est trouvé dans l'incapacité de conduire, il y a donc différents effets secondaires selon chacun. quoiqu'il en soit, pour moi, c'est miraculeux, je ne peux pas m'en passer, il m'arrive de l'oublier étant souvent occupée par mon travail au moment de la prise mais si je ne m'en aperçois avant 15h, l'enfer commence ! j'ignore à quoi ce mal est dû, je prends peu de café, mon dosage fer, zinc et magnésium est bon. et ça ne touche qu'un tiers de ma famille. qu'avons nous de différent entre nous ? je n'en sais rien. mais je ne veux même pas penser à ce que redeviendrait ma vie sans le sifrol. j'ai peur d'une chose, c'est qu'on ne le trouve pllus sur le marché.

J ai 15 ans et depuis tout petit j ai un syndrome des jambes sans repot qui ne me permet pas d avoir un sommeil paradoxal donc réparateur donc la fatigue s accumule , je suis assez sportif et avec cette fatigue les blessures sont très fréquentes j ai attaqué ce médicament il y a 1 an et demie et l effet au début était très bon pas d effet secondaire rien tout allé pour le ...lire la suitemieux quelque temp après l efficacité du médicament c estompé peu à peu chaque nuit et les crises de jambes sans répot apparaissait nuit et jour qui m obligé au collège puis au lycée où je suis une scolaritè normal m obligé à laisser tomber mon crayon par terre pour pouvoir me lève et me dégourdir les jambes en allant le chercher . La nuit des crampes et des douleurs faisait leur apparition chaque nuit . Le médecin me prescrit alors du rivotril que je n es pas supporter avec des crises de panique . Du coup le médecin choisis de jumeler le sifrol avec du zincum métalicum médicament avec aucun effet secondaire et pas très fort . Comme au début du sifrol le début fut merveilleux plus aucune crampe et crise . Mais peu à peu les effets se dissimulé pour laisser place au crise qui devenait abituel . Aujourd'hui je commence un nouveau traitement qui jumelle le sifrol et du lyrica je vous donnerez mon avis sur cette alliance des deux quand je l aurai utilisé assez longtemps merci d avoir lu , bonne santé à tous et au revoir . J ai 15 ans et depuis tout petit j ai un syndrome des jambes sans repot qui ne me permet pas d avoir un sommeil paradoxal donc réparateur donc la fatigue s accumule , je suis assez sportif et avec cette fatigue les blessures sont très fréquentes j ai attaqué ce médicament il y a 1 an et demie et l effet au début était très bon pas d effet secondaire rien tout allé pour le mieux quelque temp après l efficacité du médicament c estompé peu à peu chaque nuit et les crises de jambes sans répot apparaissait nuit et jour qui m obligé au collège puis au lycée où je suis une scolaritè normal m obligé à laisser tomber mon crayon par terre pour pouvoir me lève et me dégourdir les jambes en allant le chercher . La nuit des crampes et des douleurs faisait leur apparition chaque nuit . Le médecin me prescrit alors du rivotril que je n es pas supporter avec des crises de panique . Du coup le médecin choisis de jumeler le sifrol avec du zincum métalicum médicament avec aucun effet secondaire et pas très fort . Comme au début du sifrol le début fut merveilleux plus aucune crampe et crise . Mais peu à peu les effets se dissimulé pour laisser place au crise qui devenait abituel . Aujourd'hui je commence un nouveau traitement qui jumelle le sifrol et du lyrica je vous donnerez mon avis sur cette alliance des deux quand je l aurai utilisé assez longtemps merci d avoir lu , bonne santé à tous et au revoir .

je ne dormais plus je marchais une bonne partie de la nuit et me levais avec des molets durs conne du plomb je ne dormais plus je marchais une bonne partie de la nuit et me levais avec des molets durs conne du plomb

A l'age de 65 ans j'ai eu mes premiers symptômes des jambes sans repos. Après 3 ans , le syndrome des jambes sans repos se manifestait plusieurs fois par jour et la nuit était invivable. Je devais me lever 2 ou 3 fois la nuit et marcher pour faire stopper le syndrome. J'ai d'abord pris de l'adartrel et ensuite du Sifrol que je prend encore maintenant. Dans les 2 cas j...lire la suitee peut dire que ces médicaments ont été efficaces. Depuis je mène une vie parfaitement normale sans aucun effets secondaires avec un comprimé de 0.52 mlg à libération prolongée par jour. A l'age de 65 ans j'ai eu mes premiers symptômes des jambes sans repos. Après 3 ans , le syndrome des jambes sans repos se manifestait plusieurs fois par jour et la nuit était invivable. Je devais me lever 2 ou 3 fois la nuit et marcher pour faire stopper le syndrome. J'ai d'abord pris de l'adartrel et ensuite du Sifrol que je prend encore maintenant. Dans les 2 cas je peut dire que ces médicaments ont été efficaces. Depuis je mène une vie parfaitement normale sans aucun effets secondaires avec un comprimé de 0.52 mlg à libération prolongée par jour.