Syndrome de fatigue chronique (SFC)
Comparez les expériences avec les médicaments pour syndrome de fatigue chronique (SFC)
Nom | Nombre avis | Efficacité | Satisfaction générale |
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Levothyrox | 3 |
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Levocarnil | 3 |
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Mytelase | 1 |
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Cymbalta | 1 |
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Effexor | 1 |
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Risperdal | 1 |
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Relpax | 1 |
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Oxynorm | 1 |
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Les dernières expériences sur l’utilisation médicamenteuse pour: syndrome de fatigue chronique (SFC)
Bonjour,
Je prends le Levocarnil dans un contexte EM/SFC (modéré) et spondylarthrite (légère, surtout des uvéites).
J'au eu une impression rapide (~ une semaine) d'amélioration sur la fatigue physique, en particulier les brûlures musculaires. Par exemple mes bras brûlaient et fatiguaient très vite quand je les levais, ce qui rendait compliqué la cuisine (même assise). ...lire la suiteUne semaine plus tard, j'avais l'imrpession que ces brûlures avaient disparues.
Ce n'est pas miraculeux, mais ça m'a aidé à augmenter mon niveau d'activité, et à ce niveau-là de handicap, une petite différence dans les capacités fait une grande différence au quotidien. Et je n'ai aucun effet secondaire donc ça valait la peine d'essayer. (Pour info le seuil "pas d'effet secondaire" n'est pas à 0 sur la barre, mais un peu décalé, cela peut porter à confusion).
Bon courage à vous,
Aucun effets à part des effets secondaires, ballonnements, fatigue musculaire aggravée, fatigue tout court + insomnie la nuit. Ce médicament a aggravé mon état
On m'a prescrit ce traitement pour un tableau de fatigue chronique avec des douleurs musculaires de type "courbatures" apparaissant même avec des efforts légers et mettant plusieurs jours à disparaître. A priori, ces douleurs sont le signe d'un surplus d'acide lactique, mais ça n'a pas été dosé... En tout cas, c'est sans doute pour ça que le Levocarnil a réussi à grandemen...lire la suitet réduire mes douleurs, car il est réputé agit là-dessus là-dessus.
Par contre je n'ai pas senti d'effet sur ma fatigue générale, sur ma fatigabilité ou sur ma capacité de concentration. Et il y a un truc qui m'embête beaucoup, c'est que depuis que je le prends, je n'arrête plus de grossir. En 4 mois, j'en suis à plus de 10 kilos pris, je vois les bourrelets qui débordent de mes pantalons. Je commence à me sentir vraiment mal et j'hésite à suspendre ce traitement pour voir si ça change quelque chose. Je n'ai pas de preuve que ce soit lié au Levocarnil mais la coïncidence avec le début du traitement est troublante. J'ai vu qu'on pouvait stocker des résidus dans le foie, et je me demande si ça n'a pas détraqué quelque chose dans mon métabolisme.
J'ai vécu la même chose il y a 10 ans à cause d'un thymorégulateur et aucun médecin ne voulait croire que ça venait du traitement. J'avais mis longtemps à retrouver un poids correct ensuite.
Bref, là je suis vraiment inquiète à l'idée que je pourrais me retrouver au même stade.
J'ai pris effexor durant 19ans. Le severage a été long mais j'étais bien accompagnée par mon médecin de famille. Par contre la prise de poids n'est pas réglé étant donné que j'ai 58 ans et que la perte de poids est plus difficile mais je suis sur la bonne voie.
Faiblesse musculaire de naissance, hypotension orthostatique chronique et grand ef fatigue permanente. Soupçons de myasthénie.
Dès le 1er cachet, presque pas dormi, fatigue, beaucoup uriner, qqs douleurs et spasmes musculaires. Dès le 2d cachet la cata : spasmes, malaises, douleurs, crise avec gros spasmes des poumons où je n'arrivais plus à respirer, etc...
troubles de la marche, troubles de la vue, nuque raide, démangeaisons, sautes d'humeur, insomnies, nausées
on m'a fait essayer quasiment tous les antidépresseurs de la planète pendant une quinzaine d'années, pour ZERO effet positif, je me levais EPUISEE, j'étais complètement à la masse… il sortait tout le temps un nouvel antidépresseur.
J'avais tout le temps les mains glacées, j'avais trop la honte quand la shampouineuse me disait : "vous perdez tellement de cheveux que vous a...lire la suitellez me boucher mon évier".
J'ai eu un accident bénin de la route, et transférée à l'hôpital, les médecins ont refusé de me garder juste une seule nuit. Retour à la maison. Le matin, je vais à la boulangerie et je m'évanouis à la caisse. Les mêmes pompiers me re-transfèrent au même hôpital, ils sont furieux qu'on ne m'ait pas gardée une seule nuit. J'y reste trois jours, mais on ne me trouve rien. J'en parle à mon médecin traitant, qui m'envoie à une endocrinologue, qui me tâte la thyroïde, et me dit : "mais c'est tout petit, tout ça !". Elle m'envoie à un autre spécialiste pour prendre "une photo" de ma thyroïde. Entre-temps, elle me prescrit du lévothyrox 0,25 pendant un mois. Je me dis : "c'est que c'est grave !" donc j'enta^me le traitement tout à la fin, elle n'en saura rien. Le spécialiste me dit : alors, depuis combien d'ANNEES prenez vous du lévothyrox ?" Moi : "5 jours, docteur !"
Je n'oublierai JAMAIS la stupéfaction que j'ai vue sur son visage.
Je suis ensuite retournée voir l'endocrino. Elle a dit qu'il faudrait continuer du lévothyrox pendant 2 ans.
J'ai pensé que la situation était vraiment TRES GRAVE !
et en juste un mois, c'est reparti "comme en 14 !"
Je suis retournée la voir au bout de 6 mois, elle a augmenté le traitement à Lévothyrox 0,50.
Puis six mois plus tard, elle m'a fait passer à Lévothyrox 0, 75.
J'ai compris par la suite que la ligne MAGINOT n'avait rien pu faible contre les nuages de Tchernobyl… Je crois que la Corse a méchamment morflé.
A la suite d'un traumatisme crânio-cérébral grave, j'ai passé 3 mois en service de neurologie à l'hôpital Raymond POINCARE de Garches. Vu que les aides-soignants y faisaient la pluie et le beau temps, j'ai dû insister pendant 2 semaines pour leur faire comprendre que le lévothyrox devait se prendre A JEUN, ¼ d'heure avant le petit déjeuner, et non PENDANT le déjeuner… c'est écrit EN GROS sur la boîte, mais peut-être qu'ils ne savent pas lire… Ni mes parents, ni moi-même, n'avons JAMAIS VU le chef de service, même marcher dans les couloirs… en… TROIS MOIS. J'étais suivie par un interne, et c'était tout.
Je tiens à souligner les effets positifs du lévothyrox, il y a si peu de contraintes !
Je me levais tout le temps épuisée, j'allais à la fac, comme si j'allais à VERDUN, comme un vaillant soldat qui ne lâche rien malgré l'épuisement…
A noter qu'en Allemagne où j'habite, pas de Levothyrox, mais du générique, donc je fais des provisions de PRINCEPS en France.
Il paraît que j'ai 2 nodules thyroïdiens bénins. Mais ils sont mal élevés ! c'est moi qui choisis ma nourriture de façon équilibrée, ça prend du temps et ça coûte cher, et eux, ils se font nourrir gratos, ils ne disent jamais merci !
C'est pas des manières, ça se fait pas, quand on est invité chez quelqu'un, on dit merci, on apporte sa présence, sa gaîté ! on vient bien habillé !
J'oubliais : c'est un traitement A VIE, et il faut refaire un dosage de TSH ultra-sensible une fois par an.
je suis oublié de prendre ce médicament, pour la raison aucun me soulage des douleurs intense qui me bouffe la vie.
je prends du relpax depuis plus de 10 ans. le probléme c'est que j'ai peur que mes migraines deviennent chroniques, puisque depuis 9 jours je suis "obligée" d'en prendre 1 par jours.
Mon neurologue me dit d'alterner avec le maxalt mais je crois que c'est pire.
J'ai peur de ne plus pouvoir m'en passer, je ne sais plus quoi faire
Souffrant d'un Syndrome de Fatigue Chronique avec douleurs musculaires intenses, un spécialiste de la douleur suite à plusieurs jours d'hospitalisation dans son service était convaincu que corriger ma personnalité avec un tel médicament était la solution à mes maux. Résultat: aucune amélioration ni de mon épuisement ni des douleurs musculaires. Par contre j'ai vécu, et enc...lire la suiteore plusieurs semaines après avoir arrêté le médicament un véritable cauchemar. Cela m'a déclenché des troubles importants de la personnalité graves (que je n'ai pas du tout en temps normal). Quelques exemples: je croyais déchiffrer des codes secrets en lisant les plaques d'immatriculations des voitures, je me croyais au centre d'un complot où chaque voiture que je croisais donnait des informations à mon sujet, j'avais l'impression que les mouches me surveillaient chez moi, que la pendule aussi, je ne pouvais plus descendre dans mon sous-sol étant pris de frayeurs intense, etc... Le plus inquiétant c'est que trois semaines après avoir arrêté ce médicament ça continuait. J'ai cru que c'était irréversible. Toutes les choses du quotidien étaient devenues inquiétantes et affolantes. Une vraie torture mentale. Il a fallu quelques semaines en plus pour que je retrouve mes esprits. Voilà, tout ça pour vous dire que si vous ne souffrez pas de troubles de la personnalité avérés, ne prenez pas ce médicament car ça peut vous en déclencher et là tout bascule. Peut-être que d'autres personnes ne seraient pas revenues à la réalité...
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