Efficacité
Quantité effets secondaires
Antécédemment à la prescription, j'avais vécu près de 24 années avec une personne au double discours , d'un comportement paranoïaque caractérisé par un état manipulateur pervers en l'absence de tiers, constamment vindicative, paradoxale, en proie permanente à convoiter à la fois une "chose" et son contraire, présentant pour le moins ce qui aurait pu ressembler à une névros...lire la suitee hystérique carabinée associée au syndrome border line, avec des bouffées délirantes récidivant jusqu'à trois fois par jour, alternées avec des moments d'accalmie de très courte durée. J'étais constamment épuisé physiquement, atteint d'un mal de dos chronique "inexplicable". Pendant six ans, j'ai consulté régulièrement un psychiatre se prétendant psychothérapeute. C'est à la suite de travaux de recherches personnels, constitutifs d'un essai que j'ai communiqué à un ami dirigeant un laboratoire de recherches en sciences comportementales et médecine expérimentale, qui m'a parrainé pour entrer dans son institut, que j'ai appris de source sûre (bien que n'étant pas médecin, je m'en doutais quelque peu) que le psy que je fréquentais pour un soutien moral, relevait plutôt d'un marchand de rendez-vous en "corrupsychiatrie" , que d'un professionnel compétent. Grace à cet ami scientifique qui connaissait les troubles de ma conjointe et s'est limité à me dire "psychose toujours par ce que psychose toujours", j'ai mis fin à la relation de couple et aux consultations "psy" où le patient est conditionné à son insu au moyen de transférer les deniers du trou de la sécu sur le compte bancaire du diplômé de Médecine (ou de Fleury-Mérogys "?"...) et entraîné par ce genre de psy-carotte à croire qu'à force de crédit d'intention fait au conjoint en réalité psychotique, ce dernier deviendrait sain d'esprit et de comportement.
L'épuisement physique et les douleurs intramusculaires ne s'estompant pas, j'ai été mis sous Ixprim à raison de trois à quatre comprimés par jour et malgré plusieurs tentatives de diminution de ce poison, je suis bien malgré-moi incapable de récupérer un minimum de forces physiques et dès que je fais l'impasse de deux, voire d'un seul comprimé, je me retrouve dans un état de mal-être provenant d'une sensation chronique d'être complètement "ramollo" qui s'inscrit à contrario total du courage et de la volonté naturels qui étaient bien à moi auparavant, avec des douleurs bizarres continues comme si j'étais battu de l'intérieur de tous les muscles des jambes et du dos et une réaction cutanée récente de plus ou moins violentes démangeaisons de type allergique qui m'inquiète de plus en plus. Scanners, etc... rien de dangereux. EEG aussi. ECG de même. Systole 7, extrasystole 13, constantes sur des années. Toutes les analyses possibles ont été effectuées: rien, ni du côté d'une anormalité "classique" du sang, ni des marqueurs. Le syndrome de fibromyalgie a été écarté. Je suis devenu un véritable toxicomane auquel seul le Dynamisan apporte partiellement de quoi ne pas passer mes journées à somnoler. Mes projets restent "bloqués" dans ma tête par manque de forces physiques élémentaires: un état comparable à une rupture de dynamique, qui a fini par m'entraîner dans un début de dépression réactionnelle. J'ai essayé le Séroplex: beaucoup trop hard, déclenchant des bourdonnements d'oreille et une augmentation insupportable du rythme cardiaque, d'autres antidépresseurs provoquant des troubles analogues plus ou moins forts. Seule l'efficacité du Stablon 12,5 m'apporte de quoi supposer qu'à trois comprimés par jour associés à un demi-Lexomyl, pour pouvoir dormir normalement, plus autant de dynamisan ou similaire pouvant être utilisé couplé au Stablon pendant toute la durée d'un éventuel sevrage (s'il est concrètement possible et efficace ainsi ou autrement), il pourrait être mis un terme définitif à toute prise de Ixprim et autre camisole chimique.
Comme beaucoup de personnes, je suis atteint d'arthrose. Je n'ai jamais pratiqué de sports violents; seulement la natation (ancien brasseur amateur sur le 500m), la barre fixe (modérément) et l'athlétisme non-compétitif ( 11,2 au 100 m à encore 50 ans sans entraînement particulier). Je veux bien mettre mon âge en cause, mais pour un taux plutôt minime.
Je ne cherche à incriminer personne, même pas l'ixprimant poison dont la maintenance commerciale relève des experts médicaux et du registre du politique. Juste à retrouver comment vivre sans cette vacherie, car même à la retraire, mon métier me passionne plus que jamais et j'ai Envie de pouvoir le reprendre à temps plein.
Antécédemment à la prescription, j'avais vécu près de 24 années avec une personne au double discours , d'un comportement paranoïaque caractérisé par un état manipulateur pervers en l'absence de tiers, constamment vindicative, paradoxale, en proie permanente à convoiter à la fois une "chose" et son contraire, présentant pour le moins ce qui aurait pu ressembler à une névrose hystérique carabinée associée au syndrome border line, avec des bouffées délirantes récidivant jusqu'à trois fois par jour, alternées avec des moments d'accalmie de très courte durée. J'étais constamment épuisé physiquement, atteint d'un mal de dos chronique "inexplicable". Pendant six ans, j'ai consulté régulièrement un psychiatre se prétendant psychothérapeute. C'est à la suite de travaux de recherches personnels, constitutifs d'un essai que j'ai communiqué à un ami dirigeant un laboratoire de recherches en sciences comportementales et médecine expérimentale, qui m'a parrainé pour entrer dans son institut, que j'ai appris de source sûre (bien que n'étant pas médecin, je m'en doutais quelque peu) que le psy que je fréquentais pour un soutien moral, relevait plutôt d'un marchand de rendez-vous en "corrupsychiatrie" , que d'un professionnel compétent. Grace à cet ami scientifique qui connaissait les troubles de ma conjointe et s'est limité à me dire "psychose toujours par ce que psychose toujours", j'ai mis fin à la relation de couple et aux consultations "psy" où le patient est conditionné à son insu au moyen de transférer les deniers du trou de la sécu sur le compte bancaire du diplômé de Médecine (ou de Fleury-Mérogys "?"...) et entraîné par ce genre de psy-carotte à croire qu'à force de crédit d'intention fait au conjoint en réalité psychotique, ce dernier deviendrait sain d'esprit et de comportement.
L'épuisement physique et les douleurs intramusculaires ne s'estompant pas, j'ai été mis sous Ixprim à raison de trois à quatre comprimés par jour et malgré plusieurs tentatives de diminution de ce poison, je suis bien malgré-moi incapable de récupérer un minimum de forces physiques et dès que je fais l'impasse de deux, voire d'un seul comprimé, je me retrouve dans un état de mal-être provenant d'une sensation chronique d'être complètement "ramollo" qui s'inscrit à contrario total du courage et de la volonté naturels qui étaient bien à moi auparavant, avec des douleurs bizarres continues comme si j'étais battu de l'intérieur de tous les muscles des jambes et du dos et une réaction cutanée récente de plus ou moins violentes démangeaisons de type allergique qui m'inquiète de plus en plus. Scanners, etc... rien de dangereux. EEG aussi. ECG de même. Systole 7, extrasystole 13, constantes sur des années. Toutes les analyses possibles ont été effectuées: rien, ni du côté d'une anormalité "classique" du sang, ni des marqueurs. Le syndrome de fibromyalgie a été écarté. Je suis devenu un véritable toxicomane auquel seul le Dynamisan apporte partiellement de quoi ne pas passer mes journées à somnoler. Mes projets restent "bloqués" dans ma tête par manque de forces physiques élémentaires: un état comparable à une rupture de dynamique, qui a fini par m'entraîner dans un début de dépression réactionnelle. J'ai essayé le Séroplex: beaucoup trop hard, déclenchant des bourdonnements d'oreille et une augmentation insupportable du rythme cardiaque, d'autres antidépresseurs provoquant des troubles analogues plus ou moins forts. Seule l'efficacité du Stablon 12,5 m'apporte de quoi supposer qu'à trois comprimés par jour associés à un demi-Lexomyl, pour pouvoir dormir normalement, plus autant de dynamisan ou similaire pouvant être utilisé couplé au Stablon pendant toute la durée d'un éventuel sevrage (s'il est concrètement possible et efficace ainsi ou autrement), il pourrait être mis un terme définitif à toute prise de Ixprim et autre camisole chimique.
Comme beaucoup de personnes, je suis atteint d'arthrose. Je n'ai jamais pratiqué de sports violents; seulement la natation (ancien brasseur amateur sur le 500m), la barre fixe (modérément) et l'athlétisme non-compétitif ( 11,2 au 100 m à encore 50 ans sans entraînement particulier). Je veux bien mettre mon âge en cause, mais pour un taux plutôt minime.
Je ne cherche à incriminer personne, même pas l'ixprimant poison dont la maintenance commerciale relève des experts médicaux et du registre du politique. Juste à retrouver comment vivre sans cette vacherie, car même à la retraire, mon métier me passionne plus que jamais et j'ai Envie de pouvoir le reprendre à temps plein.
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