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Fluoxétine

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Pour Angoisse / trouble panique X

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EFFICACITÉ

pas d'effettrès efficace

EFFETS INDÉSIRABLES

pas d'effetsénormement d'effets

baillements diarrhée aiguë diminution de la libido fatigue insomnie nausée pensées négatives perte d'appétit

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Fluoxétine

17/08/2016 | Femme | 32
fluoxétine (20mg)
Angoisse / trouble panique

Efficacité

Quantité effets secondaires

j'ai ressenti un effet très positif assez rapidement. ca m a fait bizarre de ne plus avoir cette contraction dans la tete qui m empechait d avancer. Je reste angoissée mais j ai moins peur et fonce dans ce que je veux faire comme des activitées physiques,même la méditation de pleine conscience, je me suis remise à la lecture. J'apprécie beaucoup plus les moments seules, il...lire la suite y a des jours sans qui ne vont plus jusqu'à la deprime. Je métrise mieux mes émotions et je suis plus heureuse. Maintenant il faut que je constate sur du long terme(stt l hiver) J'ai recommencé à rêver la nuit. et mes crises de boulimie ont diminué, j ai donc perdu qq kg! Pour ma part au début j ai eu une phase maniaque et euphorique(comme si j avais bu un verre) qui a fini par se réguler. Je parle plus facilement aux inconnus. Bref sur moi ça ne m'a fait que du bien. Associé bien sur à la thérapie.

Fluoxétine

21/10/2014 | Femme | 33
fluoxétine
Angoisse / trouble panique

Efficacité

Quantité effets secondaires

Bonjour, Attention à ces thérapeutiques, il existe un revers de la médaille. Prise en 2005 d'un premier IRS jusqu'en 2007. Arrêt brutal, connaissant en théorie les effets possibles de syndrome de sevrage. Difficultés extrême : photophobie++, perte totale d'appétit ( 14kg en moins en 1 mois 1/2 ), je rampais pour me rendre aux toilettes ( profession libérale je me suis ab...lire la suitestenue de travailler durant 4 mois avec une tentative de reprise durant pas plus d'une semaine ), trois semaines de vacances pour tenter de me ressourcer auprès de ma famille où nourrie et choyée j'y ai repris des forces. Reprise début 2008 du boulot et tout semble bien se passer jusqu'au printemps. Je consulte un médecin psychiatre refusant tout traitement pour en confiance finalement accepter. J'en essayerais passés quelques mois un nouveau celui duquel je m'étais sevré, repris alors n'agissait plus. De ce nouveau traitement que je prendrais moins d'une année avec déjà 6kg de plus, ce qui avec ou sans traitement aurait été inévitable, je pense alors qu'en procédant plus raisonnablement en respectant le bon fonctionnement de la chimie de mon cerveau, il me faudra"simplement" diminuer de façon progressive. En 4 mois cela est fait, je me sens en assez bonne forme et cette fois le sevrage ne s'est pas fait sans souffrances, état de panique, nausées, trbls du sommeil, anxiété, tremblements et j'en oublis...Les mêmes états que précédemment tout en me permettant de travailler. Et désastre, en 2012, à l'identique des précédentes périodes post sevrage, ces états de mal être resurgissent. Quoi penser??? Peut être suis "dépressive" à vie... A l'origine de la toute première prescription souffrant de phobie sociale il m'était douloureux et inimaginable que de passer un oral pour valider mes examens, aucun état dépressif jamais alors diagnostiqué. Des années plus tard, qu'en est-il de mon état psychique? Pourquoi devrais accorder ma confiance en ces professionnels qui n'entendent pas tout là où je connais mon parcours. Je démissionne pensant m'être trompée à mon sujet et m'en remets au conseil d'une nouvelle psy. Cette fois prozac 20 débuté, très vite efficace, il est le seul a me donner l'illusion d'énergie, perte de poids oui certes les premiers mois, toujours le sourire... Mais ce n'est pas moi en des moments ou je devrais être en colère, je souris etc... Mon état est figé dans un semblant de bien être, rien est grave, je me ferais agressée ce ne serait pas si grave... Doutant de ma capacité à arrêter, j'ai confié ma difficulté à accepter cet état de confusion dans mes émotions, j'en suis ressortie avec la proposition d'instaurer un thymo régulateur qu'est l'abilify un psychotrope indiqué en autre pour soigner la schizophrénie!!! J'ai poliment refusé une première fois lui demandant d'argumenter son choix de prescription. La réponse fut peu convaincante. Proposition réitérée lors de la consultation suivante, voulant vérifier ma théorie, je lui ai demandé que de patienter avant d'encaisser mon paiement et elle de me demander de rappeler avant de reposer une date de consultation, ce qui jusque là se faisait sur place...Cela fût assez drôle, une demande de 100% remise pour m'éviter d'avancer les frais cela lors de la seconde consultation jamais envoyé sitôt déchiré et là un chèque encaissé dès le lendemain. Voici la motivation première de certains professionnels je ne puis douter. Certes pas tous. Je ne la revois plus et décide d'arrêter très très très lentement, en 1 an et 3 mois. Difficultés+++ mêmes états. A l'arrêt définitif je notais toutes mes sensations. Arrêt de la caféine, arrêt de la codéine en cas de douleur, bizarrement arrêt du sport car après état d'euphorie dû à la dopamine chute libre ensuite. Syndrome prémenstruel++++ , agressivité, idée noire, crise de nerfs. Tout le monde en prends pour son grade. Passé 3/4 mois le constat est alarmant mais je m'écoute, je consulte un thérapeute cela m'aide partiellement, le stress ne diminue pas ( taux de cortisol élevé/ACTH ultrasensible nl ). Et pourtant vient un moment où tous ces symptômes semblent parfois diminuer d'intensité pour augmenter à nouveau. Ce va et vient est régulier avec des périodes de mal être qui elles tendent enfin à diminuer. Mais ces périodes fient longues et fatigantes pour mes nerfs. Vit C, Mg, alimentation variée. Tous mes efforts tournés vers l'écoute de mon corps avec je suppose un réapprentissage dans mon cerveau du traitement de la sérotonine et autres neurotransmetteurs. Reprise progressive d'une activité "physique" douce. Aujourd'hui je suis parfaitement bien, c'est à dire à l'identique de ce que fût les seuls premiers symptômes propres à ma maladie, un peu phobique et cela n'est rien en regard de tout ce par quoi je suis passée. Je ris, je chantes je n'ai plus d'angoisse permanente, je ne suis certainement pas triste. Je veux jouir de la vie etc... Et je désapprouve le peu de formation ou d'intérêt porté aux effets du sevrage de ce type de thérapeutique chez les professionnels. Bon courage à vous. Bonjour, Attention à ces thérapeutiques, il existe un revers de la médaille. Prise en 2005 d'un premier IRS jusqu'en 2007. Arrêt brutal, connaissant en théorie les effets possibles de syndrome de sevrage. Difficultés extrême : photophobie++, perte totale d'appétit ( 14kg en moins en 1 mois 1/2 ), je rampais pour me rendre aux toilettes ( profession libérale je me suis abstenue de travailler durant 4 mois avec une tentative de reprise durant pas plus d'une semaine ), trois semaines de vacances pour tenter de me ressourcer auprès de ma famille où nourrie et choyée j'y ai repris des forces. Reprise début 2008 du boulot et tout semble bien se passer jusqu'au printemps. Je consulte un médecin psychiatre refusant tout traitement pour en confiance finalement accepter. J'en essayerais passés quelques mois un nouveau celui duquel je m'étais sevré, repris alors n'agissait plus. De ce nouveau traitement que je prendrais moins d'une année avec déjà 6kg de plus, ce qui avec ou sans traitement aurait été inévitable, je pense alors qu'en procédant plus raisonnablement en respectant le bon fonctionnement de la chimie de mon cerveau, il me faudra"simplement" diminuer de façon progressive. En 4 mois cela est fait, je me sens en assez bonne forme et cette fois le sevrage ne s'est pas fait sans souffrances, état de panique, nausées, trbls du sommeil, anxiété, tremblements et j'en oublis...Les mêmes états que précédemment tout en me permettant de travailler. Et désastre, en 2012, à l'identique des précédentes périodes post sevrage, ces états de mal être resurgissent. Quoi penser??? Peut être suis "dépressive" à vie... A l'origine de la toute première prescription souffrant de phobie sociale il m'était douloureux et inimaginable que de passer un oral pour valider mes examens, aucun état dépressif jamais alors diagnostiqué. Des années plus tard, qu'en est-il de mon état psychique? Pourquoi devrais accorder ma confiance en ces professionnels qui n'entendent pas tout là où je connais mon parcours. Je démissionne pensant m'être trompée à mon sujet et m'en remets au conseil d'une nouvelle psy. Cette fois prozac 20 débuté, très vite efficace, il est le seul a me donner l'illusion d'énergie, perte de poids oui certes les premiers mois, toujours le sourire... Mais ce n'est pas moi en des moments ou je devrais être en colère, je souris etc... Mon état est figé dans un semblant de bien être, rien est grave, je me ferais agressée ce ne serait pas si grave... Doutant de ma capacité à arrêter, j'ai confié ma difficulté à accepter cet état de confusion dans mes émotions, j'en suis ressortie avec la proposition d'instaurer un thymo régulateur qu'est l'abilify un psychotrope indiqué en autre pour soigner la schizophrénie!!! J'ai poliment refusé une première fois lui demandant d'argumenter son choix de prescription. La réponse fut peu convaincante. Proposition réitérée lors de la consultation suivante, voulant vérifier ma théorie, je lui ai demandé que de patienter avant d'encaisser mon paiement et elle de me demander de rappeler avant de reposer une date de consultation, ce qui jusque là se faisait sur place...Cela fût assez drôle, une demande de 100% remise pour m'éviter d'avancer les frais cela lors de la seconde consultation jamais envoyé sitôt déchiré et là un chèque encaissé dès le lendemain. Voici la motivation première de certains professionnels je ne puis douter. Certes pas tous. Je ne la revois plus et décide d'arrêter très très très lentement, en 1 an et 3 mois. Difficultés+++ mêmes états. A l'arrêt définitif je notais toutes mes sensations. Arrêt de la caféine, arrêt de la codéine en cas de douleur, bizarrement arrêt du sport car après état d'euphorie dû à la dopamine chute libre ensuite. Syndrome prémenstruel++++ , agressivité, idée noire, crise de nerfs. Tout le monde en prends pour son grade. Passé 3/4 mois le constat est alarmant mais je m'écoute, je consulte un thérapeute cela m'aide partiellement, le stress ne diminue pas ( taux de cortisol élevé/ACTH ultrasensible nl ). Et pourtant vient un moment où tous ces symptômes semblent parfois diminuer d'intensité pour augmenter à nouveau. Ce va et vient est régulier avec des périodes de mal être qui elles tendent enfin à diminuer. Mais ces périodes fient longues et fatigantes pour mes nerfs. Vit C, Mg, alimentation variée. Tous mes efforts tournés vers l'écoute de mon corps avec je suppose un réapprentissage dans mon cerveau du traitement de la sérotonine et autres neurotransmetteurs. Reprise progressive d'une activité "physique" douce. Aujourd'hui je suis parfaitement bien, c'est à dire à l'identique de ce que fût les seuls premiers symptômes propres à ma maladie, un peu phobique et cela n'est rien en regard de tout ce par quoi je suis passée. Je ris, je chantes je n'ai plus d'angoisse permanente, je ne suis certainement pas triste. Je veux jouir de la vie etc... Et je désapprouve le peu de formation ou d'intérêt porté aux effets du sevrage de ce type de thérapeutique chez les professionnels. Bon courage à vous.

Fluoxétine

24/08/2019 | Homme | 26
fluoxétine (20mg)
Angoisse / trouble panique

Efficacité

Quantité effets secondaires

je prends ce traitement depuis 6 mois et il est désastreux aussi dangereux que le MEDIATOR mon médecin me demande de prendre la dose 60mg pour me soigner mes angoisse et mon ataxie. Une épilepsie majeure est apparue après 3 mois de traitement. Avec ce médicament, il est interdit de conduire une voiture sur la route surtout si vous prenez une dose supérieure à 40mg. Di...lire la suiteminution de la concentration à plus de 90% sur la route provoquant un accident comme j'ai eu contre un camion semi remorque de 2 tonnes ou j'ai failli être écrasé sous les roues du camion. Ce médicament est un DANGER ABSOLU AU VOLANT STUPEFIANT MORTEL !!!!!!!!!!! JE LE DECONSEILLE DE LE PRENDRE AU RISQUE DE MOURIR A CAUSE DE CE MEDICAMENT !!!!!!!!!!!!!!

Fluoxétine

07/04/2019 | Homme | 60
fluoxétine (20mg)
Angoisse / trouble panique

Efficacité

Quantité effets secondaires

Je souffrais de TAG et après seulement 3 semaines de fluoxetine il y a eu une nette amélioration de ma santé et mon humeur je peut dire bravo à ce médicament.

Fluoxétine

09/04/2018 | Homme | 37
fluoxétine (20mg)
Angoisse / trouble panique

Efficacité

Quantité effets secondaires

Suite à des céphalées angoisse panique tristesse isolement Pelpitatation. ..manque d'appétit mon psy ma donné de la Fluoexitine résultats immédiate

Fluoxétine

19/03/2018 | Homme | 26
fluoxétine (20mg)
Angoisse / trouble panique

Efficacité

Quantité effets secondaires

Dans le cadre d'un trouble anxieux généralisé ce médicament m'a été prescrit par un psychiatre. Après un mois j'ai noté de réel progrès, j'ai plus cette boule au ventre, ces pensées négatives, je vis ma vie quoi. Maintenant le traitement va encore durer et s'alourdir, je me demande si cela est utile mais bon, je vais suivre les indications du psychiatre ça m'a réussi jusqu...lire la suitee là

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1 Réaction

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Réaction:

Bonjour, ce médicament m'a été prescrit pour les mêmes raisons que vous à savoir notamment le trouble panique. Vos premières impressions sur le médicament semblent bonnes mais j'aurais voulu savoir si après quelques mois de traitement la situation avait continué à s'améliorer pour vous ?

18/07/2018 23:24

Fluoxétine

25/09/2017 | Homme | 36
fluoxétine (20mg)
Angoisse / trouble panique

Efficacité

Quantité effets secondaires

c est un bon medicaments j ai rien sentis des effets secondaires

Fluoxétine

03/09/2016 | Homme | 57
fluoxétine (20mg)
Angoisse / trouble panique

Efficacité

Quantité effets secondaires

Depuis trois mois, je vais de malaises en malaises. Ces derniers peuvent être assez importants et aller jusqu’à la perte de connaissance. Des douleurs digestives +++. Je me suis fait ramasser par les pompiers après avoir vécu deux à trois heures qui, si l'enfer existe, doivent assez lui ressembler. Depuis, fort de cette leçon, j'anticipe au maximum. Dans la plupart des cas...lire la suite j'ai réussi à tirer mon épingle du jeu mais pas toujours. Je vais bientôt écrire un guide des urgences ... Depuis que cela a débuté, j'enchaine consultations sur consultations. Je me promène, on me promène de spécialiste ne spécialiste. Personne ne trouves rien. Quelque part, c'est plutôt rassurant... Pour autant, depuis trois mois, je ne peut plus manger que du , purée, bananes et pommes. Chaque écart alimentaire me plonge quasi invariablement vers le malaise. Nausées, vertiges, alternance diarrhées constipation, je ne supporte plus les matières grasses sous aucunes formes ou plutôt, elles ne me supportent plus. Et je n'ai rien ! J'avoue en être arrivé à redouter les malaises, en avoir peur. Mieux, j'ai peur de cette peur. En parallèle, ma vie aussi bien professionnelle que familiale et sociale n'est pas au beau fixe. Ces éléments associés ont conduit mon, ma généraliste à me demander d'essayer la solution Fluoxétine (Prozac). On a jamais bien été copains avec les approches psy. Pour autant, qui n'essaye pas, n'a pas droit au chapitre. Mes première impressions ne sont, globalement, pas très positives. D'un coté, cela me fait un bien fou. Je revis. De l'autre, il me faut payer la contre partie et ne sais si je suis prêt à cela. Je vais donc continuer cette aventure car c'en est une. Je gardes néanmoins une défiance pour tout ce qui est médication. Je ne voudrai pas que le mieux être apporté par ce médicament cache voire occulte un autre problème qui lui, serait de fond. Vous m'avez lu jusqu'au bout ! Pardonnez moi mes deblaterrations. Si elles ne vous font pas de bien, moi si car j'anxiosise face aux douleurs que je vis depuis plusieurs mois et je n'ai jamais aussi bien compris pourquoi lorsque l'on parles de santé, on le qualifie souvent de parcours. C'en est effectivement un. Un sacré même. Parcours plus fait pour les militaires que pour les gens en détresse physiques entrainant une détresse psychologique. Merci de m'avoir lu et à tous ceux qui souffrent dans leurs corps et/ou dans leur existentialisme, je leur envoie plein de pensées positives. Depuis trois mois, je vais de malaises en malaises. Ces derniers peuvent être assez importants et aller jusqu’à la perte de connaissance. Des douleurs digestives +++. Je me suis fait ramasser par les pompiers après avoir vécu deux à trois heures qui, si l'enfer existe, doivent assez lui ressembler. Depuis, fort de cette leçon, j'anticipe au maximum. Dans la plupart des cas j'ai réussi à tirer mon épingle du jeu mais pas toujours. Je vais bientôt écrire un guide des urgences ... Depuis que cela a débuté, j'enchaine consultations sur consultations. Je me promène, on me promène de spécialiste ne spécialiste. Personne ne trouves rien. Quelque part, c'est plutôt rassurant... Pour autant, depuis trois mois, je ne peut plus manger que du , purée, bananes et pommes. Chaque écart alimentaire me plonge quasi invariablement vers le malaise. Nausées, vertiges, alternance diarrhées constipation, je ne supporte plus les matières grasses sous aucunes formes ou plutôt, elles ne me supportent plus. Et je n'ai rien ! J'avoue en être arrivé à redouter les malaises, en avoir peur. Mieux, j'ai peur de cette peur. En parallèle, ma vie aussi bien professionnelle que familiale et sociale n'est pas au beau fixe. Ces éléments associés ont conduit mon, ma généraliste à me demander d'essayer la solution Fluoxétine (Prozac). On a jamais bien été copains avec les approches psy. Pour autant, qui n'essaye pas, n'a pas droit au chapitre. Mes première impressions ne sont, globalement, pas très positives. D'un coté, cela me fait un bien fou. Je revis. De l'autre, il me faut payer la contre partie et ne sais si je suis prêt à cela. Je vais donc continuer cette aventure car c'en est une. Je gardes néanmoins une défiance pour tout ce qui est médication. Je ne voudrai pas que le mieux être apporté par ce médicament cache voire occulte un autre problème qui lui, serait de fond. Vous m'avez lu jusqu'au bout ! Pardonnez moi mes deblaterrations. Si elles ne vous font pas de bien, moi si car j'anxiosise face aux douleurs que je vis depuis plusieurs mois et je n'ai jamais aussi bien compris pourquoi lorsque l'on parles de santé, on le qualifie souvent de parcours. C'en est effectivement un. Un sacré même. Parcours plus fait pour les militaires que pour les gens en détresse physiques entrainant une détresse psychologique. Merci de m'avoir lu et à tous ceux qui souffrent dans leurs corps et/ou dans leur existentialisme, je leur envoie plein de pensées positives.

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