Efficacité
Quantité effets secondaires
Effets indésirables
prise de poids
Bonjour, j’ai été diagnostiquée récemment TPB et anxiodepressive. Suite à un effondrement total de ma personne et de nombreux traumas, mon psychiatre me prescrit FLUVOXAMINE. Une catastrophe ! Aucun mot ne peut expliquer l’enfer dans lequel j’ai été confronté. La mise en place de cet AD a été la plus complexe (j’en ai eu d’autres) énormément d’effets secondaires avec ID no...lire la suiteires importantes. Je me retrouve aux urgences car je n’y arrive plus, je ressens que le médicament est mal toléré mais personne ne m’entends, je suis à 50mg. Durant mon hospitalisation, 2/3 mois environ dans des conditions difficiles. Le psychiatre en service double la dose est passé à 100mg. Le sommeil est assez bon (je le prends le soir) puis une amélioration est constatée. Mais après plus ou moins 6 mois, j’ai pris 15kg ! Cela a considérablement augmenté mes problèmes de TCA! Boulimie en l’occurrence. Même en « gérant » en limitant et n’essayant de faire du sport et de « garder le contrôle » c’était impossible ! Insupportable j’avais comme enflé tout était lourd et je n’arrivais même plus à bouger normalement ça m’a causer une grand souffrance, des douleurs physiques et psychologiques notamment vis à vis de l’estime de soi, de plus j’ai commencé à prendre le contrôle et à effectuer des achats compulsifs de façon excessive et quotidienne, incontrôlables ! Cela m’a mise en difficulté et choquée. J’en avais parlé à mon psychiatre que j’avais revu entre temps mais pas de modification de traitement.. pas de solutions apportées ça a empiré ! J’ai décidé de diminuer les doses (je sais..) j’ai revu mon psychiatre et il m’a dit « on l’arrête » dans ma tête ça m’a fait très peur car je connais la difficulté des sevrages ! Pour en avoir mené plusieurs seule et comme c’est presque impossible d’en venir à bout. Et dangereux. J’écoute j’en avais trop marre de ce traitement !! Et ça n’a pas loupé ça fait 2/3 mois que je vis un véritable enfer, une souffrance qui dépasse tout ce que l’on peut imaginer. Des crises terrifiantes, une colère incontrôlable, phobie sociale, épuisement impossible de me concentrer, tout m’agresse..ces symptômes n’étaient pas aussi présents voir pas du tout avant même il y a plusieurs années avec d autres traitements même si d’autres événements environnementaux ont aussi joué un rôle. l’enfer, perte d’appétit j’ai reperdu mes 15kg donc pour mon corps je suis contente mais ce qu’il se passe dans ma tête. Et maintenant le pire du pire les insomnies et là ça devient aliénant! C’est vraiment insupportable. Je lutte. Ce traitement pour moi a été le pire de toute ma vie et a bien fallu me la prendre à plusieurs reprises !!! J’en ai discuté avec mon psychiatre, j’ai bien sûr développé une phobie intense des médicaments, il a proposé plusieurs noms on tourne en rond, je bloque là il s’est arrêté sur le zoloft. Mais je ne l’ai pas encore commencé j’ai extrêmement peur que l’enfer recommence. Je ne tiendrai pas. Pour moi ce traitement a été un échec. D’avance merci pour votre bienveillance ou conseils éventuels. Car là c’est dur.
Bonjour, j’ai été diagnostiquée récemment TPB et anxiodepressive. Suite à un effondrement total de ma personne et de nombreux traumas, mon psychiatre me prescrit FLUVOXAMINE. Une catastrophe ! Aucun mot ne peut expliquer l’enfer dans lequel j’ai été confronté. La mise en place de cet AD a été la plus complexe (j’en ai eu d’autres) énormément d’effets secondaires avec ID noires importantes. Je me retrouve aux urgences car je n’y arrive plus, je ressens que le médicament est mal toléré mais personne ne m’entends, je suis à 50mg. Durant mon hospitalisation, 2/3 mois environ dans des conditions difficiles. Le psychiatre en service double la dose est passé à 100mg. Le sommeil est assez bon (je le prends le soir) puis une amélioration est constatée. Mais après plus ou moins 6 mois, j’ai pris 15kg ! Cela a considérablement augmenté mes problèmes de TCA! Boulimie en l’occurrence. Même en « gérant » en limitant et n’essayant de faire du sport et de « garder le contrôle » c’était impossible ! Insupportable j’avais comme enflé tout était lourd et je n’arrivais même plus à bouger normalement ça m’a causer une grand souffrance, des douleurs physiques et psychologiques notamment vis à vis de l’estime de soi, de plus j’ai commencé à prendre le contrôle et à effectuer des achats compulsifs de façon excessive et quotidienne, incontrôlables ! Cela m’a mise en difficulté et choquée. J’en avais parlé à mon psychiatre que j’avais revu entre temps mais pas de modification de traitement.. pas de solutions apportées ça a empiré ! J’ai décidé de diminuer les doses (je sais..) j’ai revu mon psychiatre et il m’a dit « on l’arrête » dans ma tête ça m’a fait très peur car je connais la difficulté des sevrages ! Pour en avoir mené plusieurs seule et comme c’est presque impossible d’en venir à bout. Et dangereux. J’écoute j’en avais trop marre de ce traitement !! Et ça n’a pas loupé ça fait 2/3 mois que je vis un véritable enfer, une souffrance qui dépasse tout ce que l’on peut imaginer. Des crises terrifiantes, une colère incontrôlable, phobie sociale, épuisement impossible de me concentrer, tout m’agresse..ces symptômes n’étaient pas aussi présents voir pas du tout avant même il y a plusieurs années avec d autres traitements même si d’autres événements environnementaux ont aussi joué un rôle. l’enfer, perte d’appétit j’ai reperdu mes 15kg donc pour mon corps je suis contente mais ce qu’il se passe dans ma tête. Et maintenant le pire du pire les insomnies et là ça devient aliénant! C’est vraiment insupportable. Je lutte. Ce traitement pour moi a été le pire de toute ma vie et a bien fallu me la prendre à plusieurs reprises !!! J’en ai discuté avec mon psychiatre, j’ai bien sûr développé une phobie intense des médicaments, il a proposé plusieurs noms on tourne en rond, je bloque là il s’est arrêté sur le zoloft. Mais je ne l’ai pas encore commencé j’ai extrêmement peur que l’enfer recommence. Je ne tiendrai pas. Pour moi ce traitement a été un échec. D’avance merci pour votre bienveillance ou conseils éventuels. Car là c’est dur.
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