Je suis sujette à une anxiété constante, des coups de blues, à la moindre réflexion, négative, un manque de sérotonine, ecitalopram m'a vraiment réussi équilibré tout celà, je le prends depuis 7 ans et j'en ai besoin pour garder mon équilibre, parfois je complète avec 1/4 de Lexomil très occasionnel, en cas de grosse contrariété, j'ai repris goût à voyager, aller vers les ...lire la suitegens, vivre normalement Je suis sujette à une anxiété constante, des coups de blues, à la moindre réflexion, négative, un manque de sérotonine, ecitalopram m'a vraiment réussi équilibré tout celà, je le prends depuis 7 ans et j'en ai besoin pour garder mon équilibre, parfois je complète avec 1/4 de Lexomil très occasionnel, en cas de grosse contrariété, j'ai repris goût à voyager, aller vers les gens, vivre normalement

Suite à une dépression majeure sévère, après plusieurs essais de médicaments, c’est le seul qui m’aide Suite à une dépression majeure sévère, après plusieurs essais de médicaments, c’est le seul qui m’aide

Après 4 jours mon mari a complètement perdu l'appétit. J'ai arrêté de lui donner le traitement. malheureusement, après 3 jours l'appétit n'est pas encore revenu ! Je vous remercie pour votre aimable attention. Meilleurs sentiment Ce message concerne la santé de mon mari ! Après 4 jours mon mari a complètement perdu l'appétit. J'ai arrêté de lui donner le traitement. malheureusement, après 3 jours l'appétit n'est pas encore revenu ! Je vous remercie pour votre aimable attention. Meilleurs sentiment Ce message concerne la santé de mon mari !

Suite rechute après avoir arreté trop tôt le traitement qui fonctionné bien..... Rebelote... Crises d'angoisses sans raisons apparentes, mal être..... Le généraliste me prescrit escitalopram 10 mg, puis 6 semaines après 15mg et depuis 1 semaine du 20mg. À chaque changement de dosage: migraines+angoisses+perte d'appetit et vomissements+ fatigue. Voilà. Avez-vous auss...lire la suitei eu des effets secondaires à chaque augmentation du dosage? Pendant combien de temps? Merci Suite rechute après avoir arreté trop tôt le traitement qui fonctionné bien..... Rebelote... Crises d'angoisses sans raisons apparentes, mal être..... Le généraliste me prescrit escitalopram 10 mg, puis 6 semaines après 15mg et depuis 1 semaine du 20mg. À chaque changement de dosage: migraines+angoisses+perte d'appetit et vomissements+ fatigue. Voilà. Avez-vous aussi eu des effets secondaires à chaque augmentation du dosage? Pendant combien de temps? Merci

C’est la troisième fois que j’utilise le Cipralex mais cette fois-ci, j’ai beaucoup trop d’effets secondaires. De plus, arrêter ce médicament est difficile. Il faut le faire sur une très longue période. C’est la troisième fois que j’utilise le Cipralex mais cette fois-ci, j’ai beaucoup trop d’effets secondaires. De plus, arrêter ce médicament est difficile. Il faut le faire sur une très longue période.

J'ai pris escitalopram 10mg le matin pendant 5mois puis j'ai réduit mon traitement à 5mg par jour pendant deux semaine puis il y a 3jours à 2.5mg .au début du traitement j'ai eu un accroissement de la nervosité mais ça a disparu au bout d'une semaine à noter que c'est pas la première fois que je prend un antidépresseur je suis à ma 3ème cure et avec ce traitement je n'a...lire la suitei pas reussi à arrêter l'anxiolytique le soir qui est une benzodiazepine alprazolam à 1mg au début du traitement puis 0.5 Mg juste il y a deux semaines. Maintenant j'ai essayé de travailler plus sur moi-même en adoptant une attitude plus positive et je crois que la combinaison AD/ANXIOLYTIQUE m'a beaucoup aidé à lâcher prise et à me concentrer sur l'essentiel. Je fais la natation ce qui m'aide aussi pour la relaxation et j'utilise la méthode coué pour l'autosuggestion positive. J'espère pouvoir arrêter progressivement mon traitement et ne plus dépendre d'un médicament pour retrouver mon calme et un sommeil normal .l'effet indésirable majeur est l'anorgasmie qui était totale au début puis j'ai pu avoir un vrai orgasme il y a 3jours je crois que c'est dû à la diminution de la dose de l'escitalopram . J'ai pris escitalopram 10mg le matin pendant 5mois puis j'ai réduit mon traitement à 5mg par jour pendant deux semaine puis il y a 3jours à 2.5mg .au début du traitement j'ai eu un accroissement de la nervosité mais ça a disparu au bout d'une semaine à noter que c'est pas la première fois que je prend un antidépresseur je suis à ma 3ème cure et avec ce traitement je n'ai pas reussi à arrêter l'anxiolytique le soir qui est une benzodiazepine alprazolam à 1mg au début du traitement puis 0.5 Mg juste il y a deux semaines. Maintenant j'ai essayé de travailler plus sur moi-même en adoptant une attitude plus positive et je crois que la combinaison AD/ANXIOLYTIQUE m'a beaucoup aidé à lâcher prise et à me concentrer sur l'essentiel. Je fais la natation ce qui m'aide aussi pour la relaxation et j'utilise la méthode coué pour l'autosuggestion positive. J'espère pouvoir arrêter progressivement mon traitement et ne plus dépendre d'un médicament pour retrouver mon calme et un sommeil normal .l'effet indésirable majeur est l'anorgasmie qui était totale au début puis j'ai pu avoir un vrai orgasme il y a 3jours je crois que c'est dû à la diminution de la dose de l'escitalopram .

Débuter en février 2018, m'a beaucoup aidé à vaincre la dépression et les effets négatifs rattachés à cette dernière. J'ai commencé le traitement à 10mg et le médecin a haussé la dose a 15 mg pour l'automne dans le but de contrecarrer la dépression saisonnière. Je me sens beaucoup plus heureux et bien avec moi-même depuis que je prend ce médicament. Je compte commencer mon...lire la suite sevrage à l'été 2019. Débuter en février 2018, m'a beaucoup aidé à vaincre la dépression et les effets négatifs rattachés à cette dernière. J'ai commencé le traitement à 10mg et le médecin a haussé la dose a 15 mg pour l'automne dans le but de contrecarrer la dépression saisonnière. Je me sens beaucoup plus heureux et bien avec moi-même depuis que je prend ce médicament. Je compte commencer mon sevrage à l'été 2019.

J'ai pris du cipralex 10 mg il agit environ dans 1 mois. Le pire j'ai du l'arrêter juste l horreur problème grave gastriques et bonjour le sevrage vomissement. Bon pour la dépression mais aussi grosse fatigue A déconseiller J'ai pris du cipralex 10 mg il agit environ dans 1 mois. Le pire j'ai du l'arrêter juste l horreur problème grave gastriques et bonjour le sevrage vomissement. Bon pour la dépression mais aussi grosse fatigue A déconseiller

Je prends 5mg tous les 2 jours, ce qui fait une dose journalière de 2.5mg (je suis fort en math lol) L effets secondaire vraiment dérangeant, même avec une si petite dose, est d avoir beaucoup de peine à ejaculer donc d atteindre l orgasme, limite acharnement, lol Quand j en prenais 10mg / jour, c était mission impossible même avec une partenaire très..... enfin vous voy...lire la suiteez.... Je prends 5mg tous les 2 jours, ce qui fait une dose journalière de 2.5mg (je suis fort en math lol) L effets secondaire vraiment dérangeant, même avec une si petite dose, est d avoir beaucoup de peine à ejaculer donc d atteindre l orgasme, limite acharnement, lol Quand j en prenais 10mg / jour, c était mission impossible même avec une partenaire très..... enfin vous voyez....

jai pris le cipralex et maintenant le générique escitalopram depuis 10 ans. Dosage 40 et maintenant 30 mg, plus bas ça va ne pas. En complément avec Lamictal 200 mg. Je suis très satisfaite, humeur stable, pas d'idées noires, pas d'angoisses, de manque d'estime. J'ai pu reprendre le travail 3 mois après le début du traitement. Pas de rechutes. A nouveau heureuse de vivre, ...lire la suitede bonne humeur. Si je l'oublie : en fin de journée maux de tête et au bout de 3 jours : en pleurs, angoissée. A part la fatigue mais je crois que c'est commun à beaucoup d'antidépresseurs et la sudation sous les aisselles j'ai changé de déodorant et ça va. Donc très bien dans mon cas de dépression sévère. jai pris le cipralex et maintenant le générique escitalopram depuis 10 ans. Dosage 40 et maintenant 30 mg, plus bas ça va ne pas. En complément avec Lamictal 200 mg. Je suis très satisfaite, humeur stable, pas d'idées noires, pas d'angoisses, de manque d'estime. J'ai pu reprendre le travail 3 mois après le début du traitement. Pas de rechutes. A nouveau heureuse de vivre, de bonne humeur. Si je l'oublie : en fin de journée maux de tête et au bout de 3 jours : en pleurs, angoissée. A part la fatigue mais je crois que c'est commun à beaucoup d'antidépresseurs et la sudation sous les aisselles j'ai changé de déodorant et ça va. Donc très bien dans mon cas de dépression sévère.

Ayant fait une dépression majeure à l'automne 2013, j'ai dû magasiner plusieurs anti-dépresseurs avant d'en trouver un qui me convenait. J'avais tout arrêté, j'allais plutôt bien, je suis même retournée sur les bancs d'école en janvier 2016. Toutefois, le manque d'énergie, de concentration, d'énergie, de motivation et le retour de la déprime, de l'anxiété, etc. se sont de ...lire la suitenouveaux invités...retour chez le médecin en panique en croyant que je retombe en dépression (ma hantise; c'était tellement douloureux...!), il me prescrit le Cipralex. Je le commence donc en juin. CAUCHEMAR. Bien que je me sentais moins anxieuse par moment, à chaque jour, j'ai eu des crises de paranoïa qui ne faisaient que s'intensifier de jour en jour, de semaine en semaine; je croyais fermement que mes parents (qui possèdent une clé de chez moi en cas d'urgence) me méprisaient, me détestaient, jouaient la comédie devant moi mais qu'au fond, ils souhaitaient ma mort (!), qu'ils rentraient chez moi pendant mon absence pour voir si je faisais mon ménage, pliais mon linge, etc., et sinon, j'étais persuadée que mon conjoint ne m'aimait plus, voulait me laisser, mais ne savait pas comment me le dire, j'analysais (comme sans le vouloir) tout ce qu'il pouvait me dire et décelais un message caché...le méga délire de persécution quoi!! Finalement, en plein été, je reste couchée dans mon lit, ne voulant plus affronter le monde que j'aime le plus, ayant peur de n'importe quel faux danger, ne parlant plus, ne bougeant plus...forcément, qui a envie de vivre dans un monde où tout le monde que nous aimons profondément nous déteste, nous méprise et veut notre mort (LA TOTAL PARANOÏA!)? Donc retour des idées suicidaires, retour en force de l'envie de m'auto-mutiler ou de m'effacer...mon corps et mon coeur sont constamment aux aguets d'un danger qui semble TOTALEMENT réel, mais ma tête me disait que, non, ça ne fonctionnait pas du tout, mais je ne savais vraiment pas que c'était à cause de ce foutu antidépresseur de merde. J'avais trop peur d'en parler de peur que les gens qui m'entourent m'envoient de force en psychiatrie (j'avais déjà fait deux séjours lors de ma dépression...alors le "Jamais deux sans trois", non merci!!). Au final, mon conjoint se rend compte que ça ne tourne vraiment pas rond et je me décide à lui en glisser un mot. Il m'écoute avec patience et compréhension, pour finalement me dire: "C'est étrange: les moments de l'augmentation de l'intensité de ta paranoïa coincident avec l'augmentation de tes doses d'anti-dépresseurs?"...et là, tout s'éclaire. Depuis que j'avais augmenté à la dose maximale, ma paranoïa a connu son pic maximal aussi...j'appelle donc mon pharmacien pour lui expliquer comment je me sens...et il me dit: "Tu le stoppes maintenant. Tu ne lui touches plus. En général, il faut diminuer la dose pour éviter les symptômes de sevrage, mais dans ton cas, il faudra que tu vives avec. Oh, et, tu t'en vas à l'hôpital maintenant!". Alors voilà. Je ne le recommande vraiment, mais vraiment pas. Je sais que les effets secondaires ne sont pas les mêmes pour tous (surtout ceux-ci: moins de 2% des utilisateurs le vivent), mais tout de même...ce voyage dans la peur constante et la méfiance maladive des gens qu'on aiment alors que tout ce que nous voulons c'est justement sortir de cet état d'anxiété permanent, c'est la pire chose qui m'est arrivée après ma dépression. Ayant fait une dépression majeure à l'automne 2013, j'ai dû magasiner plusieurs anti-dépresseurs avant d'en trouver un qui me convenait. J'avais tout arrêté, j'allais plutôt bien, je suis même retournée sur les bancs d'école en janvier 2016. Toutefois, le manque d'énergie, de concentration, d'énergie, de motivation et le retour de la déprime, de l'anxiété, etc. se sont de nouveaux invités...retour chez le médecin en panique en croyant que je retombe en dépression (ma hantise; c'était tellement douloureux...!), il me prescrit le Cipralex. Je le commence donc en juin. CAUCHEMAR. Bien que je me sentais moins anxieuse par moment, à chaque jour, j'ai eu des crises de paranoïa qui ne faisaient que s'intensifier de jour en jour, de semaine en semaine; je croyais fermement que mes parents (qui possèdent une clé de chez moi en cas d'urgence) me méprisaient, me détestaient, jouaient la comédie devant moi mais qu'au fond, ils souhaitaient ma mort (!), qu'ils rentraient chez moi pendant mon absence pour voir si je faisais mon ménage, pliais mon linge, etc., et sinon, j'étais persuadée que mon conjoint ne m'aimait plus, voulait me laisser, mais ne savait pas comment me le dire, j'analysais (comme sans le vouloir) tout ce qu'il pouvait me dire et décelais un message caché...le méga délire de persécution quoi!! Finalement, en plein été, je reste couchée dans mon lit, ne voulant plus affronter le monde que j'aime le plus, ayant peur de n'importe quel faux danger, ne parlant plus, ne bougeant plus...forcément, qui a envie de vivre dans un monde où tout le monde que nous aimons profondément nous déteste, nous méprise et veut notre mort (LA TOTAL PARANOÏA!)? Donc retour des idées suicidaires, retour en force de l'envie de m'auto-mutiler ou de m'effacer...mon corps et mon coeur sont constamment aux aguets d'un danger qui semble TOTALEMENT réel, mais ma tête me disait que, non, ça ne fonctionnait pas du tout, mais je ne savais vraiment pas que c'était à cause de ce foutu antidépresseur de merde. J'avais trop peur d'en parler de peur que les gens qui m'entourent m'envoient de force en psychiatrie (j'avais déjà fait deux séjours lors de ma dépression...alors le "Jamais deux sans trois", non merci!!). Au final, mon conjoint se rend compte que ça ne tourne vraiment pas rond et je me décide à lui en glisser un mot. Il m'écoute avec patience et compréhension, pour finalement me dire: "C'est étrange: les moments de l'augmentation de l'intensité de ta paranoïa coincident avec l'augmentation de tes doses d'anti-dépresseurs?"...et là, tout s'éclaire. Depuis que j'avais augmenté à la dose maximale, ma paranoïa a connu son pic maximal aussi...j'appelle donc mon pharmacien pour lui expliquer comment je me sens...et il me dit: "Tu le stoppes maintenant. Tu ne lui touches plus. En général, il faut diminuer la dose pour éviter les symptômes de sevrage, mais dans ton cas, il faudra que tu vives avec. Oh, et, tu t'en vas à l'hôpital maintenant!". Alors voilà. Je ne le recommande vraiment, mais vraiment pas. Je sais que les effets secondaires ne sont pas les mêmes pour tous (surtout ceux-ci: moins de 2% des utilisateurs le vivent), mais tout de même...ce voyage dans la peur constante et la méfiance maladive des gens qu'on aiment alors que tout ce que nous voulons c'est justement sortir de cet état d'anxiété permanent, c'est la pire chose qui m'est arrivée après ma dépression.

J'ai fait une dépression avec crises d'angoisses qui m'a amené à un arrêt de travail de quelques semaines. J'ai consenti à prendre le Cipralex prescrit par mon médecin malgré des appréhensions sur certains effets secondaires car je suis très sensible aux effets secondaires des médicaments. J'ai vu une amélioration importante de mon humeur en peu de temps avec le médicame...lire la suitent parcontre les effets secondaires que je déplore le plus sont la sudation importante au moindre effort, baisse de libido, difficulté à garder mon érection et difficulté à atteindre l'orgasme lorsque l'érection est au rendez-vous, Nausées importantes si je prend le médicament le matin alors je prend le soir et c'est correct. Je supporte les effets secondaires pour l'instant en me disant que je n'aurai plus à prendre le médicament dans quelques mois. J'ai fait une dépression avec crises d'angoisses qui m'a amené à un arrêt de travail de quelques semaines. J'ai consenti à prendre le Cipralex prescrit par mon médecin malgré des appréhensions sur certains effets secondaires car je suis très sensible aux effets secondaires des médicaments. J'ai vu une amélioration importante de mon humeur en peu de temps avec le médicament parcontre les effets secondaires que je déplore le plus sont la sudation importante au moindre effort, baisse de libido, difficulté à garder mon érection et difficulté à atteindre l'orgasme lorsque l'érection est au rendez-vous, Nausées importantes si je prend le médicament le matin alors je prend le soir et c'est correct. Je supporte les effets secondaires pour l'instant en me disant que je n'aurai plus à prendre le médicament dans quelques mois.

somnolence, un peu, médicament qui aide bien à tenir le coup. L'anxiété persiste, un peu, mais globalement je vais beaucoup mieux somnolence, un peu, médicament qui aide bien à tenir le coup. L'anxiété persiste, un peu, mais globalement je vais beaucoup mieux