Efficacité
Quantité effets secondaires
J ai eu deux cancers en neufs moi, les deux seins ont été touchés. Deux fois 33 séances de radio et une chimio en prime, je cumule depuis le 1er cancer, le novaldex d'abord puis le tamo au 2ème cancer. J'ai modifié presque totalement mon alimentation. Je mange peu, j adore le vin et je le bois quand je peux. Je travaille et pendant mes deux cancers, je me suis arrêtée 3 mo...lire la suiteis, j'allais travailler avec ma perruque et faisant ma thérapie le matin. Personne ne s'en ai aperçu. J'ai des crampes toutes les nuits, je dors mal, j'ai des douleurs permanentes que je n'écoute pas, je marche et cours. Je vis avec humour et spontanéité et j'ai peu de mourir. J'ai peur que la maladie vienne et me m’attrape au coin d'une rue, ou sans rire dire, un jour et ne me laisse que mes yeux pour pleurer mais jamais je ne jugerai celles qui ne se sentent plus de vivre en souffrant parce que les médicaments les empêchent d'être celles qu'elles ont toujours été. Le courage n'a rien à voir là dedans, ni la volonté, juste l'acceptation de n'être plus jamais celle que nous avons été. Et c'est dur, c'est presque inconsolable. Nous souffrons toutes du cancer, de l'amputation et des effets indésirables du tamo qui nous diminue et même les médecins incrédules, ne nous croient pas lorsqu'on les énumère. Parlons des douleurs musculaires, des neuropathies, des déformations des pieds, des crampes, des problèmes oculaires, des démangeaisons vaginales, des dépressions. A celles qui pensent qu'il vaut mieux vivre ainsi plutôt que de mourir ou à celles qui font un choix différent, je leur dis juste, faites le meilleur choix pour vous et pour votre vie, car nul ne peut la vivre à votre place.
J ai eu deux cancers en neufs moi, les deux seins ont été touchés. Deux fois 33 séances de radio et une chimio en prime, je cumule depuis le 1er cancer, le novaldex d'abord puis le tamo au 2ème cancer. J'ai modifié presque totalement mon alimentation. Je mange peu, j adore le vin et je le bois quand je peux. Je travaille et pendant mes deux cancers, je me suis arrêtée 3 mois, j'allais travailler avec ma perruque et faisant ma thérapie le matin. Personne ne s'en ai aperçu. J'ai des crampes toutes les nuits, je dors mal, j'ai des douleurs permanentes que je n'écoute pas, je marche et cours. Je vis avec humour et spontanéité et j'ai peu de mourir. J'ai peur que la maladie vienne et me m’attrape au coin d'une rue, ou sans rire dire, un jour et ne me laisse que mes yeux pour pleurer mais jamais je ne jugerai celles qui ne se sentent plus de vivre en souffrant parce que les médicaments les empêchent d'être celles qu'elles ont toujours été. Le courage n'a rien à voir là dedans, ni la volonté, juste l'acceptation de n'être plus jamais celle que nous avons été. Et c'est dur, c'est presque inconsolable. Nous souffrons toutes du cancer, de l'amputation et des effets indésirables du tamo qui nous diminue et même les médecins incrédules, ne nous croient pas lorsqu'on les énumère. Parlons des douleurs musculaires, des neuropathies, des déformations des pieds, des crampes, des problèmes oculaires, des démangeaisons vaginales, des dépressions. A celles qui pensent qu'il vaut mieux vivre ainsi plutôt que de mourir ou à celles qui font un choix différent, je leur dis juste, faites le meilleur choix pour vous et pour votre vie, car nul ne peut la vivre à votre place.
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