Efficacité
Quantité effets secondaires
J'ai actuellement 65 ans et je ne vois nulle part les effets secondaires du dépo-prodasone retard (1 injection/3 mois).
1ères règles à 12 ans. 1ères règles douloureuses à 15 ans. 1er enfant à 18 ans. Endométriose diagnostiquée à 20 ans (1968) lors d'une intervention pour rétroversion d'utérus et douleurs pelviennes très importantes : résection du 1/2 ovaire droit kystisé ...lire la suiteet nettoyage du douglas plein d'endométriose. Pilule qui stabilise la maladie. Traitement à la testostérone pour favoriser une 2ème grossesse. Alitée pendant toute la grossesse. 2ème enfant à 24 ans. Pilule à nouveau. Dégradation. Hytérectomie à 33 ans (1981) : utérus, ovaire gauche, trompes enlevés. Reste le 1/2 ovaire droit qui est correct. J'ai dû négocier pour le garder pour ne pas être castrée. 1982 : un an après l'intervention, différents symptomes chaque cycle, après l'ovulation et notamment une température qui s'élève d'un degré 38° avec une grande fatigue, dont pendant la période où le corps est régi par la progestérone. Mon gynéco me prescrit une injection trimestrielle de dépo-prodasone retard. Voir le dosage sur les injections, car je ne m'en souviens plus. Au bout de 15 jours, mon comportement commence à changer : augmentation de la température encore plus importante, humeur dépressive, agressivité, douleurs psychologiques importantes, pensées suicidaires que je n'ai jamais eues auparavant. J'ai fait le rapprochement immédiatement. Mais rien à faire puisque le produit est là pour 3 mois. Je prends ma température et je m'aperçois que l'injection a fait effet 8 mois, car je n'ai aucune courbe lisible. Ma température varie entre 37,5 et au-dessus de 38°. J'ai été arrêtée 3 mois durant cette période. L'effet psychologique a durer 3 mois, mais physiquement 8 mois, puisqu'il a fallu ce temps pour que je retrouve un cycle normal. Cette période a été très difficile pour moi, mais aussi pour mon mari et mes enfants, qui ne me reconnaissaient plus.
2 médecins m'ont dit ensuite qu'ils avaient vu des cas semblables avec même des tentatives de suicide. Je suis étonnée que cela n'apparaisse nulle part après tant d'années.
J'ai actuellement 65 ans et je ne vois nulle part les effets secondaires du dépo-prodasone retard (1 injection/3 mois).
1ères règles à 12 ans. 1ères règles douloureuses à 15 ans. 1er enfant à 18 ans. Endométriose diagnostiquée à 20 ans (1968) lors d'une intervention pour rétroversion d'utérus et douleurs pelviennes très importantes : résection du 1/2 ovaire droit kystisé et nettoyage du douglas plein d'endométriose. Pilule qui stabilise la maladie. Traitement à la testostérone pour favoriser une 2ème grossesse. Alitée pendant toute la grossesse. 2ème enfant à 24 ans. Pilule à nouveau. Dégradation. Hytérectomie à 33 ans (1981) : utérus, ovaire gauche, trompes enlevés. Reste le 1/2 ovaire droit qui est correct. J'ai dû négocier pour le garder pour ne pas être castrée. 1982 : un an après l'intervention, différents symptomes chaque cycle, après l'ovulation et notamment une température qui s'élève d'un degré 38° avec une grande fatigue, dont pendant la période où le corps est régi par la progestérone. Mon gynéco me prescrit une injection trimestrielle de dépo-prodasone retard. Voir le dosage sur les injections, car je ne m'en souviens plus. Au bout de 15 jours, mon comportement commence à changer : augmentation de la température encore plus importante, humeur dépressive, agressivité, douleurs psychologiques importantes, pensées suicidaires que je n'ai jamais eues auparavant. J'ai fait le rapprochement immédiatement. Mais rien à faire puisque le produit est là pour 3 mois. Je prends ma température et je m'aperçois que l'injection a fait effet 8 mois, car je n'ai aucune courbe lisible. Ma température varie entre 37,5 et au-dessus de 38°. J'ai été arrêtée 3 mois durant cette période. L'effet psychologique a durer 3 mois, mais physiquement 8 mois, puisqu'il a fallu ce temps pour que je retrouve un cycle normal. Cette période a été très difficile pour moi, mais aussi pour mon mari et mes enfants, qui ne me reconnaissaient plus.
2 médecins m'ont dit ensuite qu'ils avaient vu des cas semblables avec même des tentatives de suicide. Je suis étonnée que cela n'apparaisse nulle part après tant d'années.
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